• Hollande finalise la liquidation de la France

    Hollande finalise la liquidation de la France

    Ratification de la charte européenne des langues régionales ou minoritaires : le gouvernement accélère la mise à mort de la France.

     

    Bonjour

    Les idéaux et les acquis du Conseil National de la Résistance et des Forces Françaises Libres ont permis de donner à notre pays après la libération, le modèle social encore en vigueur aujourd’hui et auquel tous les français sont viscéralement attachés.

    La République une et indivisible est l’émanation de l’état nation au service du peuple souverain. La langue française en est le ciment et bien au-delà. Certains la comparent au sang qui coule dans nos veines. C’est dire que l’on est tellement habitué à l’utiliser et à en profiter qu’il nous parait impensable que ce formidable outil de culture partagé puisse être attaqué, diminué, voire disparaitre. Avant d’être dans ces situations extrêmes, il me semble important de réaffirmer mon attachement à ce patrimoine commun, d’autant que quelques signaux inquiétants se manifestent actuellement.

    La décision de réunir le congrès pour la ratification de la charte des langues régionales et minoritaire est de ceux-là ! Il faut réunir le congrès pour à nouveau trahir la France

     

     

    François Hollande aura tenu deux de ses promesses: "Le mariage pour tous" et "La ratification de la charte des langues régionales". Pour toutes les autres promesses en faveur du peuple, envolées sitôt élu!

    Rappelez-vous de l'anaphore "Moi président..."

    Rappelez-vous du discours du Bourget "Mon ennemi c'est la finance!".

    Alors pourquoi, malgré un non catégorique par les instances supérieures de l’état à la première tentative de ratification, le président avance à nouveau cette horreur qui va permettre le démantèlement de notre état nation?

    Tout simplement parce-que Bruxelles l'exige.

    Tout simplement parce-que la langue française doit être anéantie au profit du tout anglais. Rien à voir avec la reconnaissance des langues régionales comme des analyses simplistes pourraient le faire croire.

     

    François Hollande restera dans l'histoire le président qui aura finalisé la liquidation de la France.

    Jugez par vous-même:

     

    - Il a continué à brader nos industries de pointe et nos industries stratégiques au grand capital anglo-saxon. C'est vrai qu'il a été un Young Leader!

    - Il a obéi comme aucun de ses prédécesseur - électeur de gauche, je n’aurais jamais cru qu’il puisse dépasser Nicolas Sarkozy - aux injonctions de Washington.

     

    - Rappelez-vous:

     

    • L'interdiction de survoler le territoire français pour l'avion du Président Evo Morales,
    • Le non-respect du contrat passé avec la Russie au sujet des navires Mistral déjà payés (combien de milliards d'euros partis en fumée!),
    • La défense acharnée de la créature étasunienne qu'est l'Union Européenne contre l'intérêt supérieur de la nation, etc. ...

    - La volonté d'aboutir à l'intégration européenne afin de supprimer notre indépendance déjà bien amochée.

    - La volonté de détruire l'organisation démocratique de la France en éliminant communes et départements pour les supers structures européennes que seront les grandes régions.

    - Pour couronner le tout, la mise à mort de notre langue par la ratification de la charte des langues régionales.

    Afin de finaliser sa forfaiture, il doit trahir la France et sa constitution. L'article 2 de la constitution stipule que la France est une République dont LA LANGUE est le français! Excusez du peu, il s'agit en catimini, dans les sombres manigances parlementaires, de réviser la constitution afin d'accomplir l'irréparable au bénéfice des maîtres du monde.

    Pourquoi n'organise-t-il pas un référendum pour un acte aussi important? Ce serait trop démocratique? Il vaut mieux trahir la France en cachette ?

     

    Je sais que beaucoup d'entre vous, imaginent dans cette ratification l'expression de la diversité culturelle de notre beau pays. Je suis personnellement favorable au développement de notre patrimoine culturel et linguistique. Mais là, il ne s'agit pas de cela. Renseignez-vous, informez autour de vous, la défense de notre modèle social et de notre mode de penser en dépendent.

    Il n’y a pas des peuples de France, il n'y a qu'un peuple en France, dans toute sa diversité. C'est bien là l'enjeu politique du texte: passer d'une république une et indivisible basée sur des droits civils et politiques à une république fédéraliste regroupant des individus par communauté ethno-linguistiques.  Aujourd’hui dans notre pays les langues régionales sont enseignées et font l'objet de festivals, de manifestations... ce qui changerait avec l’adoption de la loi, c'est qu'elles seraient utilisées devant la justice, dans le commerce... Renseignez-vous sur le concept de co-officialité d’une langue régionale ou minoritaire et vous comprendrez les enjeux.

     

    Bien cordialement

     

    Lucien Pons

     

    Article de Médiapart du 31 juillet 2015, par Lénaïg Bredoux.

    Hollande prêt au congrès pour les langues régionales

    La Charte européenne des langues régionales a été validée vendredi en conseil des ministres. Un congrès pourrait être convoqué à Versailles début 2016. Mais de la grande réforme institutionnelle promise par François Hollande, il ne reste plus rien, ou presque

    […]

    La Charte européenne des langues régionales, adoptée en 1992 par le Conseil de l’Europe, traîne dans les tiroirs de l’exécutif depuis plus de vingt ans. En 1999, le président de la République Jacques Chirac et le premier ministre Lionel Jospin l’avaient partiellement signée, mais avaient renoncé à sa ratification après l’avis négatif du Conseil constitutionnel, convaincu que le texte mettait en péril la République.

    […]

    La « République exemplaire » aux oubliettes

    Lors du débat de janvier, les échanges avaient parfois été vifs et révélaient des fractures profondes sur la conception de la République, la députée MRC Marie-Françoise Bechtel lançant « nous sommes dans l’ethnicité ! » face à un Paul Giacobbi (Radicaux) s’agaçant de « fantasmes carolingiens ». À gauche, Jean-Luc Mélenchon est aussi un opposant farouche à la Charte : « C’est l’institutionnalisation du communautarisme linguistique au mépris de l’identité républicaine du pays », écrivait-il encore le mois dernier. À droite, le ton est tout aussi vif, à l’image de Henri Guaino. « Les députés UMP qui ont voté pour ratifier la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires ne sont pas républicains. Mais chacun s'arrange comme il veut avec sa conscience », expliquait récemment le député et ancien conseiller de Nicolas Sarkozy à Mediapart.

    […]

    http://www.mediapart.fr/journal/france/310715/hollande-pret-au-congres-pour-les-langues-regionales?onglet=ful

    http://lucien-pons.over-blog.com/2015/08/hollande-pret-au-congres-pour-les-langues-regionales.html?

     

     

    Article du Canard Républicain du 29 juin 2015 par Yvonne Bolmann.

     

    Ratification de la charte européenne des langues régionales ou minoritaires : le choix d’une défaite politique de la France. Par Yvonne Bollmann.Il s’agit, par l’appât de son patrimoine linguistique, d’amener la France à reconnaître enfin sur son territoire des minorités ethniques, elles-mêmes dotées chacune d’un territoire et d’une langue propres.Dans sa Décision n° 99 - 412 DC du 15 juin 1999, le Conseil constitutionnel juge que « la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires, en ce qu’elle confère des droits spécifiques à des “groupes” de locuteurs de langues régionales ou minoritaires, à l’intérieur de “territoires” dans lesquels ces langues sont pratiquées, porte atteinte aux principes constitutionnels d’indivisibilité de la République, d’égalité devant la loi et d’unicité du peuple français ».

     

    […]

     

    Par la ratification de la charte, la France se mettrait en situation de subir institutionnellement le harcèlement ethnique dont elle est d’ores et déjà l’objet, et qui s’est intensifié depuis 1990. Pourquoi devrait-elle accepter de se soumettre à la rééducation souhaitée ? Pourquoi devrait-elle renoncer à être un État dont la philosophie politique est a-ethnique, sans minorités ethniques sur son territoire et sans minorités françaises au-dehors ? Face aux conflits ethno-linguistiques d’aujourd’hui, épuisants et destructeurs, régressifs, l’État-nation France est tout simplement d’avant-garde. Pourquoi ratifier ?

     

    […]

     

    Yvonne Bollmann, universitaire, auteur de La tentation allemande (1998), La Bataille des langues en Europe (2001), Ce que veut l’Allemagne (2003)

     

    http://www.lecanardrépublicain.net/spip.php?article722

     

     

     

    Article du M’PEP du 19 janvier 2014 par Françoise Morvan, écrivaine et chercheuse.

    Contre la charte des langues régionales.

     

    Dans la foulée du « Pacte d’avenir pour la Bretagne », le gouvernement Ayrault s’apprête, pour satisfaire aux revendications des autonomistes qui se sont engouffrés dans le mouvement des Bonnets rouges, à faire ratifier la charte européenne des langues régionales et minoritaires. Pourtant François Hollande avait renoncé à le faire en mars 2013. Cette volte-face avait été jugée salutaire par l’écrivaine, traductrice et chercheuse Françoise Morvan, pour qui cette charte « ne vise pas à défendre des langues minoritaires mais les langues de groupes ethniques, sur une base foncièrement raciste ». Démonstration.

    […]

    http://www.m-pep.org/Contre-la-charte-des-langues

     


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  • Commentaires

    1
    ahura
    Mardi 11 Août 2015 à 18:39

     

     

     

    «Allô, c’est Jean-Yves le Drian». Arnaque d’escrocs israéliens au nom de la France

     

    Mistral russes : Hollande a molli (le capitaine de vaisseau Yves Maillard)

     

     

     

     

    Mistral russes : Hollande a molli (le capitaine de vaisseau Yves Maillard)

     

     

    Mille sabords, voilà qui est parler ! Le capitaine de vaisseau (H) Yves Maillard, ancien attaché naval près l’ambassade de France à Moscou, qui sait de quoi il parle, donne son appréciation de marin et de diplomate sur cette sombre affaire des Mistral. Et il n’est pas tendre avec notre mol président. RI

     

    ***

     

    Méfiez-vous des marins qui font des phrases, surtout lorsqu’elles concernent ceux que l’on reconnait à ce qu’ils osent tout. Avoir osé casser le contrat Mistral avec la Russie et probablement aussi à brève ou moyenne échéance les bateaux eux-mêmes objets de ce contrat, inutilisables ailleurs et invendables, sauf à la ferraille, bateaux qui sont pourtant des chefs-d’œuvre de notre savoir-faire en matière de construction navale militaire, et alors que ce contrat représentait aussi un des meilleurs exemples de nos capacités commerciales extérieures, il fallait quand même le faire. François Hollande l’a osé, et l’a fait !

     

    Il a tout cassé notre nouveau tonton flingueur. Tonton tout court, lui, en son temps, au moins, n’avait rien cassé. Entre la France et la Russie, ce sont des siècles de construction et d’élaboration de relations particulières et quasi affectives, pour le meilleur et pour le pire. Le pire, ce n’est pas la peine d’en parler, Tolstoï l’a suffisamment bien raconté dans Guerre et Paix, ou Fantin des Odoards dans son journal de campagne de capitaine de la Grande Armée. Le meilleur, c’est de Gaulle qui d’une main a construit notre force de dissuasion nucléaire, respectée par tous et qui rendait ses dires crédibles, et de l’autre rappelle qu’il ne saurait y avoir de construction européenne garante de la paix dans le monde sans la participation du grand voisin de l’Est.
    Staline ne s’y était du reste pas trompé : il voulait faire participer de Gaulle à Yalta. Il avait préparé à son intention en cadeau un fusil incrusté d’or et de pierreries que l’on vous montre à Moscou, si vous vous tenez bien avec les Russes.
    Le meilleur, c’était aussi le marquis de Traversay, héros de la guerre d’indépendance des Etats-Unis, au commandement de sa frégate il avait détecté au bon moment la position de l’amiral anglais Rodney, ce qui permit à de Grasse d’écraser ce dernier à la bataille de la Chesapeake, tournant décisif de la guerre. Traversay, avec l’autorisation de Louis XVI, se mit au service de la tsarine russe Catherine II. Entre autres, il fit construire les fortifications russes de la ville russe de Sébastopol (nom de l’un des deux Mistral, ce qui n’est pas un hasard), capitale russe de la Crimée russe. Crimée qui a toujours été, est et sera toujours russe, en dépit des caquètements baveux et myopes des conseillers corrompus de François Hollande qui nous mentent effrontément en essayant de nous persuader du contraire.
    Le meilleur c’était encore le cuirassé Tsesarevitch construit il y a plus d’un siècle aux chantiers de la Seyne-sur-mer, le nec plus ultra de la construction navale du moment. Il devait être le modèle de la future armée navale russe. A Tsushima, bataille précipitée, il fut malheureusement seul de son calibre. Ne l’eut-il pas été que l’Histoire de tout l’Extrême-Orient eut été différente, et avec elle celle du militarisme japonais. Que de perspectives manquées peut-on entrapercevoir dans cette page trop rapidement fermée ! Non, nous n’avons en tous cas pas à rougir de ce que notre pays a fait par le passé, y compris construire des navires de guerre pour la Russie.

     

    Le contrat Mistral s’inscrivait naturellement dans cette lignée d’engagements réciproques, pas seulement industriels ou commerciaux, que le temps a pavée pour nous. Sur ce coup là , aveuglé par des intérêts à courts termes vantés frauduleusement par des mercenaires de la finance internationale qui ne sont pas des nôtres, le petit gougnafier de la reine n’a pas bandé en roi (langage de marins) et a laissé passer une belle opportunité de faire ce que le temps ne nous permet pas tous les jours de faire. C’est une belle occasion que nous avons manquée de faire quelque chose d’utile à la construction d’un grand destin national, diplomatique cette fois. Certes Poutine n’est pas un démocrate modèle, et alors ? François Hollande en est-il un, lui ? Ils passeront tous les deux, nos pays et leur histoire resteront.

     

    Pour payer sa forfaiture Hollande a dû emprunter un milliard et quelques d’euros sur les marchés internationaux, via le paravent à peine discret de la COFACE. Là aussi il fallait oser. Jusqu’au dernier moment on a pu croire qu’il ne le ferait pas. Tout le monde n’est évidemment pas perdant dans cette affaire forcément juteuse pour certains. Ceci, dit-on, ne représentera qu’un pouième de plus additionné à notre dette globale de deux mille milliards d’euros. Ben voyons !

     

    Qu’importe ! Cet argent n’est pas le sien et ce n’est pas lui qui devra faire face un jour au nécessaire apurement de cette dette. Une barque surchargée finit toujours par chavirer quand on continue follement à la charger. On n’y échappe pas. Il en est de même des dettes abyssales qui viennent d’être ainsi encore aggravées.

     

    De plus ce n’était certainement pas le moment de se faire décrédibiliser, en tant que partenaire honorable, fiable et respectable, par la Russie, et c’est probablement le pire de ce que nous avons durablement perdu dans cette lamentable affaire. Qui sait si ce n’est pas d’elle dont nous aurons besoin un jour, avec son formidable potentiel de développement, quand viendra celui inéluctable de la vérité financière. Allez, circulez, il n’y a plus rien à voir, ni plus rien à dire, nous dit-on. Certes l’écume de mer finit toujours par se fondre dans la houle. Mais la houle du large finit toujours, aussi, et en partant souvent de très loin, par venir se briser sur les réalités de la terre ferme.

     

    François Hollande ?

     

    Souhaitons qu’il remette un jour, peut-être, en se rhabillant ses culottes à l’endroit. En attendant, bon sang, qu’on lui donne un sabre de bois, avant qu’il n’en fasse trop !

     

    Par le capitaine de vaisseau (H) Yves Maillard, ancien attaché naval près l’ambassade de France à Moscou.

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    2
    VERCINGETORIX
    Jeudi 14 Juillet 2016 à 00:38

    Patience citoyens; le vent finira par tourner.  Ils pourront toujours tenter de sauver leurs peaux,  ceux qui depuis  50 ans ont liquidé le pays. Des tribunaux d'exception vont les juger, dans l'heure qui suit, un prêtre donnera les derniers sacrements avant application du jugement contre le mur d'en face et, incinération afin de faire disparaitre toutes traces.

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