• ,

     
    Photo de François Asselineau - Union Populaire Républicaine.

    PETIT À PETIT, LES RÉFÉRENCES TRADITIONNELLES À LA FRANCE DISPARAISSENT, SANS QUE LE PEUPLE FRANÇAIS NE COMPRENNE L’OBJECTIF FINAL.
    -------------------------------------------------------------------
    ERDF DEVIENT « ENÉDIS »
    -------------------------------------------------------------------
    De façon opiniâtre et sournoise, les références à notre pays sont gommées un peu partout, y compris des noms des entreprises naguère publiques qui avaient fait la force et la fierté de la France de l'après-guerre.

    C'est ce qui arrive à ERDF, selon le même schéma déjà vu pour GDF, France Telecom et d'autres. ERDF (« Électricité Réseau Distribution France ») s’appelle désormais officiellement « Enédis », depuis le 1er juin 2016.

    [ Source : http://www.lefigaro.fr/…/20005-20160601ARTFIG00133-erdf-dev… ]

    Cette lobotomie subreptice n’est pas seulement conforme à la volonté de l’Union européenne de réaliser le « marché unique » de l’énergie et de faire disparaître toute idée d’opérateur national.

    Elle s'inscrit dans une stratégie plus globale, qui est celle du projet de dislocation rapide des grands États-nations, comme la France, l'Espagne ou le Royaume-Uni, projet prémédité par les idéologues fanatiques de l'euro-atlantisme.

    -------------------------------------------------------------------
    MIDI-PYRÉNÉES-LANGUEDOC-ROUSSILLON
    DEVIENT « OCCITANIE »
    -------------------------------------------------------------------
    La création des grandes régions par François Hollande a posé le problème de leur renomination.

    Les habitants ont en général préféré adopter des noms faisant référence à l’ensemble français ; ainsi les habitants de la grande région « Alsace – Lorraine – Champagne Ardennes » ont rejeté les propositions de « Centre Europe » ou de « Austrasie » et préféré adopter le nom de « Grand Est », ce qui se positionne clairement par rapport à la carte de France.

    De même, les habitants de la grande région « Aquitaine – Poitou Charentes – Limousin » ont préféré adopter le nom de « Aquitaine » et ceux de « Nord Pas de Calais Picardie » ont choisi « Hauts de France », au grand dam des européistes de tout poil.

    Mais ceux-ci viennent de remporter une victoire. Au terme d'un vote local largement orienté, la grande région « Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon » va prendre le nom de « Occitanie », qui était celui choisi par la Commission européenne.

    [ Source : http://www.lindependant.fr/…/consultation-pour-le-nom-de-la… ]

    Ce choix n’est évidemment pas neutre. En abandonnant la notion de « Midi » - sous entendu de « Midi de la France », et en prenant le terme d’Occitanie, il s’agit de promouvoir ensuite l’enseignement de l’occitan contre la langue française - parallèlement au tout "anglo-américain" par ailleurs.

    Il s'agit de semer les ferments de division de l’unité nationale et de préparer la soumission complète à l'empire euro-atlantiste dirigé depuis Washington.

    Je renvoie ici à ma conférence sur les euro-régions et sur la carte de France dépecée promue par certains cercles de réflexion allemands, d'ailleurs héritiers de la pensée géopolitique hitlérienne ( je renvoie à ma conférence in extenso http://www.upr.fr/confere…/reforme-territoriale-euro-regions ou à cet extrait de 8 minutes : http://www.dailymotion.com/…/x1q6xu1_euro-regions-la-fin-de… )

    FA
    19 juin 2016

     

    votre commentaire
  • Disparition de l’argent liquide et puçage de masse :

    Vers la dictature intégrale.

     

     

    Dans la même rubrique:
     

     

    Nicolas Bourgoin
    Lundi 30 Mai 2016

    Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale.

    A côté de la société de demain, le cauchemar d’Orwell risque fort de ressembler à une aimable plaisanterie. Dans l’indifférence générale, l’oligarchie est en train de dresser les plans d’un monde totalement transparent où nul citoyen ne pourra échapper au regard intrusif de l’État. Et ses deux piliers sont déjà en place : la puce RFID sous-cutanée et le paiement digitalisé.

    Vivre avec une puce électronique sous la peau, c’est désormais possible et même recommandé à en croire ses promoteurs. Le stockage de données personnelles  permettrait d’améliorer nos capacités d’êtres humains par la biotechnologie et d’optimiser notre rapport à l’environnement, en bref nous faciliter la vie et nous rendre plus efficaces. Plus besoin de badge pour s’identifier, de code pour déverrouiller son smartphone ou son ordinateur ni de carte bancaire pour payer.

    Le paiement sans contact qui acte de la disparition programmée des espèces est vanté par des arguments du même type : commodité et économie. Epargner les frais de la traque de la fausse monnaie ou les coûts de fonctionnement des distributeurs de liquidités, entraver les opérations illicites (drogue, prostitution, commerce des armes, évasion fiscale et travail au noir) et faciliter les paiements sont les principales raisons avancées par les décideurs financiers et politiques.

    Mais, dans les deux cas, il s’agit surtout de préparer les esprits à ce qui sera demain la norme quand les pouvoirs publics rendront le puçage obligatoire, interdiront tout paiement en liquide ou rendront impossible le stockage personnel d’espèces tandis que les établissements bancaires taxeront les dépôts ou ponctionneront les comptes des particuliers.

    bb

     

    Pratiqué aux Etats-Unis depuis une dizaine d’années, le puçage cutané s’étend rapidement en Europe. Certaines entreprises suédoises proposent déjà l’implant de puces à leurs employés afin de les rendre plus productifs et en Espagne elles servent de moyens de paiement dans certaines discothèques. Mais l’affichage promotionnel du procédé cache mal sa finalité réelle. Les volontaires de ce marquage électronique dernier cri sont en réalité les cobayes d’un projet d’envergure qui vise ni plus ni moins qu’à rendre l’individu totalement transparent et à le livrer pieds et poings liés aux dispositifs de surveillance et de contrôle.
    rfid_enjeux_3
    Identifier et suivre les objets

    La technologie RFID (Radio Frequency Identification) permet d’identifier un objet ou un être vivant, d’en connaître les caractéristiques et d’en suivre le cheminement, le tout à distance et sans contact, grâce à une étiquette émettant des ondes radio, attachée ou incorporée à l’objet. Les informations sont stockées sur le produit où l’étiquette est collée ou implantée, et transmises au lecteur RFID par ondes radio. La RFID est utilisée pour la traçabilité de certains produits ou objets, l’identification des animaux d’élevage (remplaçant le tatouage) ou des individus (par stockage des données biométriques dans les badges électroniques, passeports, cartes d’identité, de paiement ou d’assurance maladie, titres de transport ou permis de conduire). De plus en plus présentes dans la vie quotidienne, leur usage est amené à s’étendre toujours plus car il est encouragé par les pouvoirs publics. Plusieurs pays européens imposent ainsi la pose de puces sous-cutanés pour l’identification des animaux domestiques et, en France, des maternités proposent des bracelets électroniques visant à prévenir l’enlèvement des nourrissons.
    Une technologie à hauts risques

    Certains dangers liés à l’usage de la RFID ont déjà été relevés. Si elle ne permet pas théoriquement la surveillance continue des individus, contrairement aux GPS dont sont pourvus les smartphones, l’ensemble des données à caractère personnel contenues dans les puces RFID que nous utilisons, souvent à notre insu, pourrait permettre par recoupement une identification à distance des personnes et de leur pratiques de consommation. De plus, le piratage est toujours possible : ces ondes étant rarement cryptées, il est très facile de les intercepter et même de les copier sur un autre support, et ainsi d’usurper l’identité d’autrui. Et rien n’interdit d’y placer des “cookies”, comme ceux qu’envoient les sites web, afin de suivre à la trace le trajet des objets ou des personnes ainsi identifiés. Le risque de traçabilité des individus et le faible niveau de protection de leurs données personnelles ont suscité l’inquiétude de la CNIL.

    L’aspect sanitaire pose également problème, la dangerosité des ondes électromagnétiques émises par ce nouveau procédé s’ajoutant à celle des ondes déjà présentes dans la téléphonie mobile et les systèmes Wi-Fi. Ainsi, un rapport de l’AFSSET déconseille une exposition continue aux ondes de la RFID et préconise une distance minimale d’au moins 20 centimètres, deux recommandations bafouées par le procédé de l’implantation cutanée. De fait, de nombreuses études révèlent déjà un lien entre implant et survenue de cancers et au vu de leurs résultats on peut légitimement penser que cette nouvelle technique sera l’un des prochains scandales sanitaires.
    bientot-la-puce-rfid-et-son-code-reperable-n-importe-ou-su
    La société sous l’oeil des puces

    Mais le danger principal est surtout d’offrir aux récents projets de surveillance généralisée des populations un outil parfaitement adapté et efficient. Implanté dans le corps de l’individu, la RFID devient l’instrument de contrôle social sans doute le plus redoutable jamais conçu. Le stockage quasi-illimité des données personnelles permet de l’identifier à distance, de savoir (presque) tout de lui et de le suivre dans tous ses déplacements. Le gouvernement anglais confronté à la surpopulation des prisons étudie la possibilité de remplacer le bracelet électronique, jugé encombrant, par un implant pour surveiller  les personnes sous contrôle judiciaire. En France, la surveillance électronique par RFID viendra compléter les dispositifs de surveillance numérique prévus dans la loi sur le renseignement  en facilitant le profilage électronique et la géolocalisation des personnes jugées à risque, ainsi que les dispositifs de surveillance de l’espace public, notamment l’usage de la vidéosurveillance intelligente permettant d’identifier les individus dans une foule par reconnaissance faciale et de repérer les comportements « suspects ».

    disparition-du-cash-en-Europe

    Soumission au lobby bancaire

    Ce n’est évidemment pas le fuit du hasard si la Suède, le pays européen le plus avancé dans le projet d’implantation des puces sous-cutanées est aussi le premier à interdire le paiement en espèces.  Et ce n’est évidemment pas un cas isolé : à l’échelle de l’Europe, le paiement par le procédé du Near Field Communication (NFC) dérivé des puces RFID prend peu à peu le relais des transactions en espèce et de nombreux établissements commerciaux n’accepte,t plus le paiement en liquide. Même si 70% des paiements se font encore en espèces, il est fort probable que le cash disparaisse purement et simplement en Europe d’ici la prochaine décennie, entièrement remplacé par le paiement via smartphone ou carte bancaire. Au total, près de deux milliards de transactions sans contact ont été enregistrées en 2015 en Europe, où l’on compte désormais près de 3 millions de terminaux de paiement compatibles avec cette technologie, soit la moitié du parc total. En France, pas moins de 100 millions de transactions sans contact ont été enregistrées en 2015, soit 5 fois plus que l’année précédente, et plus de 30 millions de cartes sans contact sont en circulation. On recense désormais 500 000 terminaux compatibles avec la technologie sans contact dans l’hexagone, soit plus du tiers du parc total, et d’ici à 2020, la totalité du parc français devrait être compatible avec cette technologie. Et avec la généralisation du paiement sans contact, la société sans cash que le gratin de l’oligarchie appelle de ses voeux devient possible. Comme l’affirment les acteurs du paiement sans contact : « la révolution est en marche et rien ne saurait l’arrêter ».

    Pourquoi cette fuite en avant ? La raison en est simple : il s’agit d’empêcher les ménages de retirer, de stocker et d’utiliser des espèces quand les établissements financiers taxeront les dépôts bancaires, voire ponctionneront les comptes des particuliers en ças de crise grave. C’est-à-dire très prochainement. En effet, la politique monétaire décidée par les banques centrales (faire baisser les taux d’intérêts à un niveau proche de zéro, voire négatif) conduit inéluctablement les établissements financiers à appliquer un taux d’intérêt négatif sur les dépôts bancaires des entreprises et des ménages. Les raisons avancées d’une telle politique sont connues : inciter ces agents à utiliser la monnaie disponible pour tenter de relancer la consommation et contenir la déflation rampante, l’austérité budgétaire érigée en dogme privant les États nationaux des autres leviers.

    Supprimer les billets et les pièces tout en taxant les dépôts afin de doper la croissance réelle est la dernière folie imaginée par les banquiers centraux. Les conséquences pour les populations ainsi livrées pieds et poings liés au lobby bancaire et au regard intrusif des États nationaux seront dramatiques. La société sans cash qu’on nous promet grâce à la révolution numérique donnerait aux décideurs financiers  les moyens de contrôler tout le système au détriment des particuliers qui n’auraient alors plus aucune porte de sortie. Le verrouillage récent des retraits de cash en Grèce est un avant-goût de ce qui attend désormais les européens en cas de faillite bancaire.
    La RFID et la fin du cash, armes de destruction massive des libertés

    Puce RFID ou suppression du cash, l’objectif est le même : contraindre les populations à se soumettre aux diktats de la finance. Et le moyen aussi : leur laisser le moins de liberté possible, ce à quoi s’emploient activement les gouvernements successifs depuis une quinzaine d’années en promulguant une série ininterrompue de lois qui réduisent toujours plus les libertés publiques sous couvert de « guerre contre le terrorisme ». La RFID et le paiement électronique, comme les autres outils technologiques de surveillance, de contrôle et de traçabilité, servent le projet totalitaire d’une société d’individus dans laquelle toute notion de vie privée aura été abolie et placée sous la domination totale et permanente de l’appareil d’État et de l’oligarchie financière.


    https://bourgoinblog.wordpress.com/2016/05/26/disparition-de-largent-liquide-et-pucage-de-masse-vers-la-dictature-integrale/#more-5483


    votre commentaire
  • Nouvel épisode de la guerre contre la Russie. A l'instant, France24 Voix d'israël, commente : "D'un côté, les Russes en noir, décidés à en découdre. De l'autre, des Anglais qui tentent de répliquer". Et le meRdia montre un pauvre Anglais (rempli de bière et le crâne rasé) assommé. Comprenne qui pourra... Voici la réalité, eva

    lundi 13 juin 2016

    Euro 2016: pourquoi la Russie risque-t-elle d'être sanctionnée par l'UEFA

     
    Lille
     
    Il est difficile de dire que cet Euro 2016 commence particulièrement bien. Je vous passerai mes commentaires sportifs - quoi que ça pourrait être amusant. Mais ce qui se passe autour du foot, autour de la compétition sportive est simplement navrant. Et pourquoi faut-il encore politiser cet évènement? Des supporters ivres ou enragés, bref des supporters (désolée, je n'en ai pas une très bonne image d'où qu'ils viennent) se battent et se conduisent comme des porcs. Et un seul pays est en voie d'être sanctionné. Toujours la même histoire, un peu fatigant à force, mais revenons donc sur les faits puisque notre ministre de l'intérieur estime que tout va pour le mieux à Bisounoursland.
     


    Notre très cher ministre de l'intérieur, Bernard Caseneuve, a le sang froid, l'incompétence - je n'ose imaginer la bêtise - de déclarer que le dispostif de sécurité est excellent puisqu'il a empêché que ce ne soit pire. Certes, c'est une vision des choses. Et, enfin, si la vente d'alcool est interdite, vous pouvez toujours acheter des bouteilles en verre.
     
    Puisque le point de rupture semble être le match Russie/Angleterre, lors duquel de méchants supporters russes ont méchamment (puisqu'ils sont méchants) attaqué de gentils supporters anglais, remettons les choses dans leur contexte.
     
    Bien avant ce match, il semblerait que les pauvres gentils supporters anglais n'aient vraiment pas de chance en France car ils se font attaqués de partout. Alors qu'ils boivent gentiment un verre - non, non, pas deux, juste un - sur le Vieux Port à Marseilles, ils sont attaqués par ce que la presse française politiquement correcte appelle des "ultras marseillais". Ces gentils supporters chantaient juste, avant d'être attaqués, une petite chanson du pays, Où es-tu Daech? :
    «Les problèmes semblent avoir commencé quand des supporters anglais –la plupart ayant la quarantaine– qui avaient bu toute la journée au Queen Victoria dans le quartier du Vieux Port ont commencé chanter des insultes contre un groupe de jeunes du coin. Certains supporters anglais se sont mis à chanter “Daech, où es-tu?” avant d'être attaqué par des ultras marseillais, dont la plupart n'ont pas encore 20 ans, et ont des origines maghrébines.»
    Mais ils furent incompris et victimes. A moins d'envisager que leur chant ne se rapportait pas du tout à la menace terroriste qui pèse sur la compétition, comme veut à tout prix le voir la presse française, mais constituait simplement une invective raciste et provocatrice à l'égard de la population marseillaise du Vieux Port, à forte majorité maghrébine. 
     
    Mais dans ce cas, l'UEFA aurait du réagir et ouvrir une enquête pour racisme contre l'Angleterre. Ce qui est impensable
     
    Continuons avec nos pauvres victimes anglaises. Il faut dire que la situation a totalement dégénéré dans la nuit de jeudi à vendredi, lorsque 250 supporters anglais s'en sont pris à la police française. Mais la manière dont le rapporte Nice matin fait sourire:

    Dans la nuit de jeudi à vendredi, un groupe de 250 supporters britanniques s'en était déjà pris à la police. Vendredi soir, les policiers ont séparé des groupes d'Anglais et de Russes.

    Quel est le rapport? Les russes aussi sont responsables de cela? Passons. Continuons notre excursion dans les villes de France avant de revenir vers notre match Russie/ Angleterre.

    A Nice, justement, des affrontements entre supporters polonais et nord-irlandais. Le maire de la ville, choqué par ce comportement, écrit sur Twitter:

    Débordements violents à  ce soir. Le comportement de ces  est inacceptable et doit être condamné très sévèrement. 



    Résultat: 7 blessés, un supporter nord-irladais mort suite à une chute mortelle en état d'ébriété. Et aucune réaction de l'UEFA pour ouvrir une enquête et sanctionner un pays.

    Ensuite, partons à Lille. Où les supporters allemands sont venus casser de l'ukrainien et se rappeler le bon vieux temps. C'est pas sympa pour ces ukrainiens qui veulent tellement entrer dans l'UE, ça ne se fait pas.

     
    En plus il faut dire que l'Allemagne s'est rappelée la belle époque de la Première guerre mondiale, quand elle était déjà venue en France. Et où aucune UEFA ne risquait de lui dire quoi que ce soit. Remarquez, aujourd'hui non plus, elle ne risque pas grand chose. Et ça aurait pu être pire, ils auraient pu sortir un drapeau de la Seconde guerre mondiale. Ce qui aurait été très délicat pour B. Caseneuve. Il a raison, ça aurait vraiment pu être pire, quelle chance!
     

    Il est dommage que les visages soient cachés ... Mais ça non plus ce n'est pas un crime et l'UEFA n'a rien à reprocher à l'Allemagne et il n'est pas question d'ouvrir une enquête.

    Maintenant que nous voyons l'ambiance festive qui s'empare de cet Euro 2016, continuons notre excursion avec le début du match Euro 2016 Russie/Angleterre. Car l'ambiance est exceptionnelle et le ton est donné dès que l'hymne russe retientit en premier dans le Stade. Hymne russe sifflé par les supporters alglais, qui y sont majoritaires.
     
     
    Mais là aussi, l'UEFA n'y voit rien. Et certainement pas un "comportement raciste". Bref, un simple exemple de fair play
     
    Mais à la fin du match, lorsque des supporters russes provoquent les supporters anglais, ce que reconnait même la presse russe, qui elle semble faire preuve de plus d'objectivité, alors là, l'UEFA ne peut l'accepter. La presse française, elle, préfère citer la police anglaise - évidemment objective dans cette affaire qui fait des supporters russes des machines de guerre armées. A se demander s'il ne s'agit de commandos spéciaux)) Il perce juste un léger soupçon de reproche de la part de l'UEFA quant à l'organisation du match, où aucune séparation n'a été prévue - ce qui est généralement le cas - entre les groupes de supporters.
     
    Si les deux pays ont été menacés d'être suspendu si leurs supporters continuaient, un seul, la Russie, se voit sous le coup d'une enquête de l'UEFA. Il faut dire que l'UEFA a raison: si elle commençait à sanctionner tous les pays dont les supporters se conduisent mal, il n'y aurait plus personne pour jouer. Alors la Russie fera l'affaire, surtout en ce moment. Et l'image d'une belle Europe unie, qui a dépassé le racisme et oublié l'histoire de ses guerres, pourra être maintenue à bout de bras, à bout d'articles de presse et d'absence d'analyse.
     
    En bonus, on pourrait même retirer le Mondial 2018 à la Russie, car ce n'est pas faute d'essayer! Londres serait manifestement beaucoup plus approriée.

    PS: Comme l'écrit RT:
    «Dans l’hôtel, où logent [les membres] de l’Union russe des supporters (VOB), sont arrivés 40 policiers avec des mitraillettes. Ils se sont introduits dans les chambres, ont fait des copies des passeports et nous ont tous photographiés», a posté sur Twitter, un supporter de VOB, Alexander Chpryguine.
    Vraiment, les forces de l'ordre françaises savent se battrent contre de dangereux ennemis du pays ... dans leurs chambres d'hotel. 
     
     

    votre commentaire
  • ,

    Pour les agriculteurs, ressemer sa propre récolte sera interdit ou taxé

    Didier TAUZIN : Pour les agriculteurs, ressemer sa propre récolte sera interdit ou taxé

    https://rebatirlafrance.fr/agriculteurs-ressemer-propre-recolte-sera-interdit-taxe/


    Pour les agriculteurs, ressemer sa propre récolte sera interdit ou taxé

    Pour les agriculteurs, ressemer sa propre récolte sera interdit ou taxé

    Sources : Le Monde

    Dans le champ de l’agriculture, l’usage libre et gratuit des graines ne sera bientôt plus qu’un doux souvenir rappelant des méthodes paysannes d’un autre temps. Surnommées « semences de ferme », ces graines étaient jusqu’alors sélectionnées par les agriculteurs au sein de leurs propres récoltes et replantées l’année suivante.

    Depuis plusieurs décennies, ces pratiques n’allaient déjà plus de soi lorsque ces semences étaient protégées par un Certificat d’obtention végétale (COV) à savoir le droit de propriété des « obtenteurs » de l’espèce. Ressemer ces graines était théoriquement interdit. Mais cet usage demeurait, dans les faits, largement toléré enFrance. Il est désormais strictement réglementé par une proposition de loi UMP adoptée lundi 28 novembre par le Parlement.

    « Sur les quelque 5 000 variétés de plantes cultivées dans le commerce, 1 600 sont protégées par un COV. Ces dernières représentent 99 % des variétés cultivées par les agriculteurs », explique Delphine Guey, du Groupement national interprofessionnel des semences (GNIS). Or, environ la moitié des céréales cultivées étaient jusqu’ici ressemées par les agriculteurs, selon la CNDSF (Coordination nationale pour la défense des semences fermières). Presque toujours illégalement, donc. Mais le temps de « l’incertitude juridique » semble révolu : pour le ministre de l’agriculture, Bruno Le Maire, ces semences « ne peuvent pas être libres de droit, comme elles le sont aujourd’hui ».

    • Ce qui change

    En fait, la proposition de loi du sénateur UMP Christian Demuynck transpose un règlement européen de 1994 sur la protection des obtentions végétales, jusqu’ici nullement en vigueur en France. Conséquence : les semences de ferme, jusqu’ici tolérées, sont désormais légalisées… à condition de verser une « rémunération aux titulaires des COV » – à savoir aux entreprises de semenciers , « afin que soit poursuivi le financement des efforts de recherche et que les ressources génétiques continuent d’être améliorées », dit le texte de loi. En sont exemptés les petits agriculteurs produisant moins de 92 tonnes de céréales.

    Depuis 2001, cette taxe est appliquée pour une seule espèce : le blé tendre. Nommée « contribution volontaire obligatoire », elle est empochée par l’interprofession des semenciers. L’agriculteur doit payer 50 centimes par tonne de blé lors de la livraison de sa récolte. Ce système devrait donc être étendu à 21 espèces, dont la liste reste ouverte, assure Xavier Beulin, président de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles), sur le site du syndicat.

    En somme, pour Guy Kastler, délégué général du réseau Semences paysannes et membre de la Confédération paysanne, « pour la moitié des espèces cultivées – le soja, les fruits, les légumes… –, il est interdit de réutiliser ses propres graines, et pour l’autre moitié – céréales et plantes fourragères , il faut payer pour ressemer. »

    • Vers une privatisation des semences ?

    Plusieurs associations écologistes et paysannes craignent ainsi une mainmise accrue de la filière semencière sur l’accès aux graines, via un droit de propriété étendu aux récoltes et aux graines qui en sont issues. Avec la taxe, « même les agriculteurs qui se passent des semences commerciales doivent payer pour ces semences », déplore Guy Kastler. Le militant redoute que la part des semences de ferme ne s’amenuise, à mesure que ces dernières deviennent plus chères et donc moins intéressantes pour l’agriculteur. Entre cette taxe et l’interdiction de ressemer ses propres graines, l’agriculteur est de plus en plus incité, non plus à produire, mais à acheter ses semences. D’où la crainte d’une dépendance accrue aux entreprises semencières.

    Mais du point de vue de Xavier Beulin, la contribution de tous à la recherche sur les espèces cultivées se justifie, dans la mesure où même les semences de ferme en sont généralement issues. Dressant un parallèle avec la loi Hadopi visant à « protéger les créateurs » de films et de musique, le président de la FNSEA estime qu’il est « normal que [ceux qui utilisent des semences fermières] participent aussi au financement de la création variétale, puisqu’ils en bénéficient ». Opposé à cet argumentaire, le syndicat Coordination rurale relève sur son site que Xavier Beulin n’est pas seulement à la tête du premier syndicat agricole. Il dirige aussi le groupe Sofiprotéol, « qui détient des participations dans plusieurs grands groupes semenciers français (Euralis Semences, Limagrain…) ».

    • Vers une perte de biodiversité ?

    Autre crainte : l’impact de cette mesure sur la diversité agricole. Certes, ressemer une même variété – presque toujours issue de la recherche – n’accroît pas, a priori, la biodiversité. D’autant que « pour les grandes cultures, aucune variété utilisée n’est le fruit d’une conservation ancestrale ; toutes ont été développées grâce à la création variétale », souligne Xavier Beulin.

    Toutefois, ressemer sa récolte peut entraîner des variations dans l’espèce, et donc favoriser cette biodiversité, nuance Guy Kastler. « Des caractères nouveaux apparaissent, permettant à la plante d’être mieux adaptée au sol, au climat, aux conditions locales. Il est alors possible de réduire les engrais et les pesticides. A l’inverse, les semenciers adaptent les plantes aux engrais et aux pesticides, qui sont partout les mêmes. » Ils tendraient donc plutôt à créer de l’uniformité dans les plantes, où qu’elles soient cultivées.

    • Vers le régime du brevet ?

    Le COV est, en France, une alternative au brevet sur le vivant, en vigueur aux Etats-Unis par exemple. Ce droit de propriété intellectuelle est détenu par les entreprises ayant obtenu, par la recherche, les espèces cultivées, et qui jouissent donc du monopole de la vente des semences de cette espèce avant qu’elle ne tombe dans le domaine public – comme c’est le cas d’environ 450 d’entre elles en France. D’aucuns, comme Guy Kastler, craignent un glissement vers ce régime du brevet, en limitant le droit des agriculteurs d’utiliser librement les semences protégées.

    Toutefois, à la différence du COV, le brevet interdit complètement aux agriculteurs de ressemer leur récolte, indemnités ou pas, note Delphine Guey. C’est le cas des variétés OGM de la firme américaine Monsanto qui, selon Marie-Monique Robin dans le documentaire Le Monde selon Monsanto, a même créé une sorte de « police des semences » spécialisée dans la traque des agriculteurs semant ou échangeant illégalement les graines qu’ils récoltent.

    Autre différence avec le brevet, le COV permet aux obtenteurs d’utiliser librement une variété protégée pour utiliser ses ressources génétiques et en sélectionner de nouvelles. Ainsi, travailler sur un gène d’une espèce ne permet pas de la breveter et donc de se l’approprier totalement. Une distinction qui a permis, selon Delphine Guey, de préserver une diversité d’entreprises semencières françaises. Et donc de laisser aux agriculteurs un plus ample choix d’espèces à leur disposition. Toutefois, si le brevet des espèces vivantes n’est pas de mise en France, le brevetage des gènes des plantes y est, lui, de plus en plus pratiqué.


    votre commentaire
  •  

    Selon Poutine, L’évolution Humaine est menacée par les grandes compagnies pharmaceutiques

    76
     
     

    Le rapport indique que le président estime que la prochaine étape de l’évolution humaine est actuellement dans une « phase grave » et que les puissances occidentales et mondiales sont en train de « ralentir intentionnellement le processus pour leur gain personnel. »

    « Nous, en tant qu’espèce humaine, avons le choix de continuer à développer pour une meilleure nos corps et nos cerveaux suivant une trajectoire ascendante, tout comme nous pouvons suivre l’exemple de l’Ouest de ces dernières décennies et intentionnellement empoisonner notre population avec des aliments génétiquement modifiés, les produits pharmaceutiques, les , la restauration rapide et qui doivent être classifiés comme une drogue à l’accoutumance dangereuse « .
    « Nous devons lutter contre cela.

    Avoir une population physiquement et intellectuellement handicapée n’est pas dans notre intérêt « , indique le rapport. 

    Décrivant l’Occidental moyen, contrôlé par un gouvernement moyen, comme étant sur-vacciné à la limite de l’, affalé devant un écran, imbibé d’une haute teneur en fructose de sirop de maïs, le rapport énumère les tactiques utilisées par ces gouvernements pour berner leurs citoyens et conclut en estimant ces procédés contre-productifs à moyen et à long terme.
    La sous le président Poutine a été bien plus loin encore.

    Elle a mis gracieusement, ces dernières années, à disposition de ces concitoyens désireux de se lancer dans l’agriculture bio de développement durable, des hectares de terre.

     

    L’objectif étant de devenir « le premier exportateur » au monde d’aliments non-OGM basés sur une production « écologiquement propre ». 

    Le rapport du Conseil de sécurité intervient quelques mois après l’annonce faite par le Kremlin de l’arrêt de toute production d’aliments contenant des OGM, ce qui a été perçu par la communauté internationale comme un combat majeur à l’encontre des type «  ».

    La Russie continue de poursuivre son chemin dans la voie d’une agriculture biologique naturelle.

    Trouvé sur http://canalisations-marie.blogspot.ca/

    http://www.onsaitcequonveutquonsache.com/selon-poutine-levolution-humaine-est-menacee-par-les-grandes-compagnies-pharmaceutiques/?utm_campaign=coschedule&utm_source=twitter&utm_medium=onsaitceque&utm_content=Selon%20Poutine%2C%20L%27%C3%A9volution%20Humaine%20est%20menac%C3%A9e%20par%20les%20grandes%20compagnies%20pharmaceutiques

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires