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    Photo de François Asselineau - Union Populaire Républicaine.

    == COUP DE TONNERRE DANS LA HAUTE FINANCE MONDIALE PEUPLE NON SOUMIS À LA DICTATURE DE L'UNION EUROPÉENNE, LES SUISSES VONT ORGANISER UN RÉFÉRENDUM D’INITIATIVE POPULAIRE POUR RETIRER AUX BANQUES LEUR POUVOIR DE CRÉATION MONÉTAIRE.
     


    C'est un véritable coup de tonnerre qui vient de résonner dans le monde feutré de la finance en ce 30 décembre 2015. La Confédération Helvétique, pourtant réputée pour être le paradis des banques, vient de décider d'organiser un référendum pour retirer aux banques leur pouvoir de création monétaire et le réserver à la seule Banque Nationale de Suisse (BNS).

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    Le résultat d'une initiative populaire
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    Cette décision résulte directement du fait qu'une initiative populaire, lancée en juin 2014, a recueilli 111.824 signatures, soit davantage que les 100.000 nécessaires pour provoquer une "votation", autrement dit un référendum.

    L'initiative propose que la BNS « émet désormais seule » non seulement la monnaie physique, mais aussi la « monnaie scripturale. » (monnaie créée pour l'essentiel par les banques lors de l'attribution de crédits à l'économie physique ou à d'autres banques).

    Les conséquences du référendum seraient que les banques perdraient leur capacité de créer de l'argent ex nihilo. Tout prêt accordé par une banque devrait désormais être couvert par de la monnaie de la banque centrale au bilan de l'établissement. Dès lors, la Banque Nationale de Suisse (BNS) maîtriserait entièrement la création monétaire.

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    Les 3 modes de distribution de l'argent exclusivement
    créé par la Banque Centrale
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    L’initiative populaire prévoit trois modes de distribution de l'argent créé par la BNS :

    1°) un transfert de cet argent aux pouvoirs publics pour alimenter l'économie. Ce transfert ne se ferait pas sous forme de prêt, mais de « don. »

    2°) 'attribution directe d'argent de la BNS aux particuliers. L'initiative émet donc la possibilité d'un « Quantitative easing pour les gens ». Mais il est possible d'imaginer que cet argent soit aussi celui d'un revenu de base qui est actuellement en discussion en Suisse, comme en Finlande.

    3°) l’alimentation par la banque centrale des banques elles-mêmes. Mais cette fois, à la différence d'aujourd'hui, les banques ne pourraient plus prêter que l'argent qu'elles auront auparavant emprunté à la BNS selon les moyens traditionnels déjà existant de refinancement. «

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    Une potentielle révolution planétaire
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    Cette initiative dispose du soutien de plusieurs économistes, suisses et européens. Mais elle fait bien entendu hurler le secteur bancaire helvétique, qui est, avec près de 12 % du PIB suisse, un des piliers de l'économie nationale.

    Quoi qu'il en soit, l'adoption par la Suisse de cette initiative serait une révolution dans le monde de la finance et ses conséquences dépasseraient largement les frontières de la Confédération. Le séisme et l'effet d'exemplarité seraient énormes dans le monde entier.

    Car la Suisse n'est pas la petite Islande, c'est un des centres financiers les plus importants de la mondialisation. Or, les rares sondages sur la question ont donné une large majorité au « oui » à l'initiative. Le plus récent, datant d'août, donnait 57 % pour l'initiative, mais il doit être pris avec précaution.

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    Le lobby des banques et des euro-atlantistes
    fera tout pour faire échouer le référendum
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    Rien ne dit cependant que cela débouchera sur une majorité pour l'initiative : on peut tabler sur le fait que le secteur bancaire au cours de la campagne électorale, probablement avec le soutien d' une partie des partis de droite et, plus globalement, des partis et des médias inféodées aux forces euro-atlantistes.

    Il faut par ailleurs obtenir non seulement la majorité populaire au niveau fédéral, mais aussi dans au moins 12 des 23 cantons de la Confédération. Ce n'est donc pas gagné.

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    Comparaisons entre la France (UE + euro + OTAN)
    et la Suisse (ni UE ni euro ni OTAN)
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    Avec un peu plus de 8 millions d'habitants et 41 200 km², la Suisse est environ 8 fois moins peuplée que la France et 13 fois plus petite en superficie. Elle est même plus petite que la seule région Rhône-Alpes.

    Pourtant, le peuple suisse - historiquement très vigilant sur ses libertés et sur sa démocratie - a courageusement et intelligemment refusé d'entrer dans la prétendue « construction européenne », dans l'euro et dans l'OTAN.

    Le peuple suisse a ainsi fait un bras d'honneur à la propagande euro-atlantiste. Ils ne se sont jamais laissés intimider. Ils n'ont pas cru les prophètes malintentionnés qui leur assurait que la Suisse était "trop petite" pour s'isoler du monde...

    Avec le recul du temps, les résultats comparés de la Suisse et de la France sont édifiants.

    Alors que la France dégringole année après année dans le calcul de l'Indice de Développement Humain (IDH) du PNUD, - étant passée de la 2e place en 1995 à la 22e place en 2015, la Suisse, elle, est désormais à la 3e place mondiale.

    Alors que la pauvreté et la misère ne cessent de s’étendre en France au même rythme que les délocalisations industrielles, la prospérité suisse est plus forte que jamais, notamment grâce à une monnaie nationale gérée conformément aux intérêts du peuple suisse.

    Alors que la France est attirée dans des guerres illégales et très meurtrières qui nous aliènent la sympathie du monde entier et qui nous ont transformé en larbins de Washington, la Suisse se tient sagement à l'écart de ces crimes, tout ne préservant une véritable armée digne de ce nom et tout en respectant le droit international au point qu'elle est devenue le pays du monde qui abrite le plus de conférences internationales et un symbole de paix à elle toute seule.

    Alors que la France connait des attentats terroristes, qui résultant directement des choix diplomatiques et militaires scandaleux de nos dirigeants, la Suisse reste indemne de cette plaie, tout simplement parce que la Suisse inspire le respect dans le monde entier.

    Alors que la France se dirige vers sa dislocation sous le poids de la politique maléfique des "euro-régions", la Suisse maintient plus que jamais son unité nationale, grâce au respect de ses traditions vieilles de 800 ans. Les cantons suisses sont en moyenne 2 fois plus petits et 2 fois moins peuplés que les départements français, mais personne en Suisse n'ose même imaginer de les supprimer "pour être moderne".

    Alors que la France sombre mois après mois dans un régime de plus en plus dictatorial avec une surveillance généralisée des citoyens, une extension abusive de l'état d'urgence, des réformes constitutionnelles aux relents xénophobes débattus à la sauvette et des lois liberticides votées en catimini, la Suisse administre toujours plus son respect profond du peuple et de la démocratie, avec son système de référendum d'initiative populaire que les oligarques franco-européistes refusent bec et ongle aux peuple français.

    On doit noter au passage, que cette annonce de référendum sur le retrait du pouvoir de création monétaire aux banques privées permet de clouer le bec aux européistes méprisants qui nous assurent continuellement que l'on ne pourrait "pas comparer" la Suisse à la France parce que la Suisse tirerait sa richesse des banques.

    La preuve est faite que, même si le poids du secteur bancaire est important en Suisse - celui de l'industrie y est aussi très élevé -, cela n'empêche nullement le peuple suisse d'envisager de mettre au pas ledit secteur bancaire. Le peuple et les dirigeants suisses font preuve d'un courage, d'un sens de l'intérêt général et d'une dignité qui font affreusement défaut aux médiocres personnages qui nous gouvernent.

     

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    Conclusion
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    En guise de conclusion, je rappelle que l'UPR est le seul parti politique français qui offre au peuple français la perspective de recouvrer une prospérité et une démocratie de type helvétiques.

    Le programme que j'ai présenté en décembre 2011 - voici maintenant 4 ans - s'engage en effet de façon ferme et définitive :
    - à faire sortir la France de l'UE, juridiquement et unilatéralement, par l'article 50 du TUE,

    - à faire sortir la France de l'euro, juridiquement et unilatéralement, par l'article 50 du TUE,

    - à faire sortir la France de l'OTAN, juridiquement et unilatéralement, par l'article 13 du Traité de l'Atlantique Nord,

    - à créer enfin un vrai référendum d'initiative populaire, avec des conditions d'organisation comparables à ce qu'elles sont en Suisse,

    - à redonner à la Banque de France son pouvoir plein et entier de création monétaire

    - à organiser, après son accession au pouvoir, un grand débat sur l'origine de la dette publique, assorti d'un référendum à questions multiples.

    Parmi ces questions, nous pourrions très bien soumettre au peuple français la même question que celle qui va être soumise au peuple suisse, à savoir celle du retrait aux banques privées de leur pouvoir de création monétaire ex nihilo.

    François Asselineau
    30 décembre 2015

    Source : http://www.latribune.fr/…/les-suisses-voteront-pour-oter-au…

     

    https://www.facebook.com/upr.francoisasselineau/posts/10153882754057612:0

     

     

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    Aujourd’hui 95 % des juifs ne sont pas des descendants d’Hébreux ou de Sémites

     

    La plupart des gens qui emploient à tout va le mot antisémitisme n’ont jamais tenu de livre d’Histoire dans leurs mains et n’ont pas vraiment étudié l’origine et la provenance du judaïsme et de son passé.

    Les « Juifs » d’Europe orientale ne furent à aucun moment de leur histoire les légendaires « dix tribus perdues d’Israël », comme ils se plaisent à le raconter. Ce mensonge historique est maintenant solidement prouvé. Des recherches implacables ont montré que les « Juifs » d’Europe  ne peuvent légitimement se réclamer d’un seul ancêtre ayant mis un pied sur le sol de Palestine pendant l’ère biblique. La recherche a également révélé que les « Juifs » d’Europe orientale ne furent jamais des « Sémites », ne sont pas aujourd’hui des « Sémites », ni ne pourront jamais être considérés comme des « Sémites », même avec toute l’imagination qu’on voudra. Cette enquête exhaustive rejette de manière irréfutable la croyance généralement admise selon laquelle les « Juifs » d’Europe orientale sont « le peuple élu », suivant l’expression consacrée de nos prédicateurs. La recherche dénonce cette thèse comme la plus fantastique des fabrications de l’histoire. II est apparemment important de parler de ce sujet brûlant pour mettre certaines choses au clair.

    Il faut ajouter qu’aujourd’hui 95 % des juifs ne sont pas des descendants d’Hébreux ou de Sémites, mais sont un mélange de Huns et de Turcs. Ils ne viennent pas du Jourdain, mais de la Volga, pas de Canaan, mais du Caucase, et n’ont pas de liens génétiques avec Abraham, Isaac et Jacob, mais avec les Huns, les Uigoures et les Magyars. Comment est-ce possible ?

    khazaria-frComment, et par qui, l’origine et l’histoire des Khazars et du Royaume de Khazarie, ont été si bien cachées pendant tant de siècles ? Quelle mystérieuse force a été capable pendant une multitude de générations, de rayer les origines et l’histoire des Khazars de tous les livres d’histoire, et ce dans tous les pays du monde, alors que l’histoire des Khazars et de leur royaume repose sur des faits historiques incontestables ? Si vous voulez comprendre pourquoi les Russes, les Anglais et plus tard les Allemands ont voulu chasser les juifs de leurs pays, vous devez en connaître la raison. Quelqu’un dans les livres d’Histoire nous a-t-il expliqué pourquoi on a persécuté les juifs et chassés de différents pays ?

    Pourquoi les a-t-on chassés de tous les pays et pas un autre peuple ? Pourquoi n’y- a-t-il pratiquement que des juifs qui ont participé à la révolution bolchevique ? Car ils l’ont planifiée, financée et faite ! Pourquoi les médias sont-ils entre des mains juives, les banques aussi ? Pourquoi en 1995 aucun juif ne peut entrer en Malaisie ?

    Depuis 40 ans le terme antisémitisme nous fait froid dans le dos dès qu’on prononce le mot juif. On a fait croire à l’opinion publique occidentale, contrôlée par les médias, dominés par les juifs khazars, que le terme d’antisémitisme s’appliquait presque exclusivement aux juifs. En réalité un juif d’aujourd’hui est aussi sémite qu’un Américain est Grec.

    parchemin

    Les Khazars sont un peuple d’origine turque, dont la vie et l’histoire sont très proches du développement de l’histoire juive en Russie. Venant de Turquie, ils étaient des nomades des steppes, gui vivaient de rapines et de pillages. Au milieu du 6ème siècle ils s’établirent au sud de la Russie, bien avant la monarchie des Varègues. Le royaume khazar était à son apogée et menait constamment la guerre. Il n’y eut pas de moments pendant lesquels ils ne faisaient pas la guerre. Ils dominaient de grands territoires de la mer Noire à la mer Caspienne, et du Caucase à la Volga.

    khazarie

    Au 8ème siècle le Chagan, le roi des Khazars, se convertit au judaïsme, ainsi que sa cour et une grande partie du peuple. Les deux exigeaient des Khazars qu’ils se convertissent, les uns au Christianisme, les autres à l’Islam. Les Khazars choisirent le judaïsme, refusant les deux autres. Au cours des deux siècles qui suivirent, la plupart des Khazars se convertirent, et à la fin du 9ème siècle tous les Khazars étaient de religion juive. Ce fut Obadiah, un successeur de Bulan sur le trône, qui renforça le royaume et affermit la religion juive. II invita des savants à s’établir dans son royaume, fonda des synagogues et des écoles. Le peuple fut introduit à la Bible et au Talmud Les Khazars utilisaient l’écriture hébraïque. Mais leur langue restait la même.


    Les Khazars étaient des païens, lorsqu’ils envahirent l’Europe orientale. Leur pratique religieuse était un mélange du culte phallique, et d’autres formes de cultes idolâtriques pratiqués en Asie par les nations païennes. De tels cultes se sont maintenus en Khazarie jusqu’au VIIe siècle. Les excès sexuels que pratiquaient les Khazars pour « célébrer » leurs cultes religieux les amenèrent à un degré de dégénérescence morale que leur roi ne pouvait plus tolérer. Au VIIe siècle, le roi Bulan décida d’abolir la pratique du culte phallique, ainsi que celle des autres cultes idolâtriques, et choisit l’une des trois religions monothéistes (qu’il connaissait très peu), pour religion d’état. Après avoir fait venir des représentants des trois religions monothéistes, le roi Bulan rejeta le christianisme et l’islam, et choisit comme future religion d’état le culte religieux connu à l’époque sous le nom de « talmudisme », et aujourd’hui connu et pratiqué sous le nom de « judaïsme ». Cet événement est attesté par de nombreux documents.

    Les Khazars sont les ancêtres des Israeliens

    Quand le roi Bulan fut convertit au VIIe siècle, il décréta que les caractères hébreux qu’il avait vus dans le Talmud et dans d’autres documents hébreux, seraient dorénavant adoptés comme l’alphabet du langage khazar. Les caractères hébreux furent donc tant bien que mal utilisés pour transcrire phonétiquement le langage des Khazars. Les Khazars adoptèrent les lettres de la langue hébraïque, simplement afin de se doter d’un moyen de transmettre leurs discours par écrit. Cette décision n’est aucunement l’indice d’une origine raciale commune avec les Hébreux, pas plus qu’elle ne fut motivée par des raisons politiques ou religieuses.

    Beaucoup de membres de la famille royale se réfugièrent en Espagne, d’autres en Hongrie, mais la majorité resta dans leur pays. (Jewish Encyclopedia, Volume IV, article on Chazars, page 1-5). Le professeur H. Graetz explique que les Khazars exerçaient une sorte de religion fanatique, un mélange de sensualité et d’inceste. Après Obadiah il y eut un grand nombre de rois khazars, et d’après leur droit, il devait être juif. Pendant un grand laps de temps les souverains d’autres nations n’eurent pas connaissance de la conversion du royaume khazar, et quand ils l’apprirent, ils crurent que le royaume abritait les descendants des 10 tribus. Ces informations ne sont pas secrètes, elles proviennent d’un dictionnaire, The jewish Encyclopedia. Et cela prouve, mis à part 5 à 6 % de la population juive d’aujourd’hui, qu’il n’y a pas de liens directs avec les Hébreux. Donc ce ne sont pas des Sémites !
    Les juifs d’origine khazars les plus connus aujourd’hui sont les Rothschild. Leur nom vient de l’enseigne (Schild en allemand) rouge (Rot), le blason des Khazars, qui se trouvait sur le magasin de Mayer Amschel Bauer, dans la rue des Juifs à Francfort.

    Maintenant il est possible de répondre à une question importante : Pourquoi est ce que ce sont les juifs qui ont planifié la révolution bolchevique, qui l’ont faite et financée ? Que voulaient les juifs en Russie ?
    Pour les raisons énoncées ci-avant, il est compréhensible que les Khazars, chassés par la monarchie russe, aient voulu reconquérir leur Russie.

     


    Pour plus d’informations, dressons la liste des noms juifs/ khazars des leaders de la révolution bolchevique :

    Chernoff / Von Gutmann ; Trotzki / Bronstein ; Martoff / Zederbaum ; Kamhoff / Katz ; Meshkoff / Goldenberg ; Zagorsky / Krochmal ; Suchanov / Gimmer ; Dan / Gurvitch; Parvus / Helphand ; Kradek / Sabelson ; Zinovjeff / Apfelbaum ; Stekloff / Nachamkes ; Latin / Lurye ; Ryazanoff / Goldenbach ; Bogdanoff / Josse ; Goryeff / Goldmann ; Zwewdin / Wanstein ; Lieber / Goldmann ; Ganezky / Fuerstenberg ; Roshal / Solomon. (Die Absteiger, Des Griffin)

    De plus, les présidents de l’Union Soviétique, Lénine, Staline, Khroutchev, Gorbachev, Eltsine, même le leader d’extrême droite Jirinovsky, sont des juifs khazars !

    Il est primordial de comprendre cela, car c’est bien la preuve que la notion d’antisémitisme n’a rien à voir avec ces juifs-là, elle est donc complètement déplacée. Tout le monde arabe par contre, est d’origine sémite. Le bon terme serait antisioniste. Ce sont donc ceux qui disent que les juifs sionistes d’aujourd’hui n’ont pas de rapport avec les Hébreux qui ont raison. Et ils n’ont dix fois pas le droit à un État d’Israël en Palestine ! En clair, les habitants actuels d’Israël n’ont pas de raisons et pas de droit de vivre dans un état israélien, car ils ne sont pas d’origine hébraïque ou israélite. Les juifs modernes pourraient revendiquer, tout au plus, une partie de la Russie.

    Un expert de plus en la matière est Alfred Lilienthal, qui dans son livre The Zionist Connection  montre à l’aide de documents, que la naissance de l’État d’Israël en 1948 a été l’aboutissement d’intrigues politiques massives entre des juifs khazars et leurs infâmes compagnons, en Angleterre et aux USA.

    Ce n’est un secret pour personne que le droit de l’État sioniste à une terre s’appuie sur une loi internationale (une résolution de l’ONU de 1947 sur la répartition de la Palestine, et non pas sur l’origine hypothétique du peuple juif ou sur le pacte mythique d’Abraham avec le Dieu Yahvé ! Cette résolution a été obtenue de force par les Khazars.

    Toutes les décisions viennent de New York. La plupart de nous savent qu’il y a plus de juifs à New York qu’à Jérusalem, que New York appartient à des juifs khazars (pas seulement les banques ou la Réserve Fédérale, mais aussi des immeubles, des terrains, des hypermarchés, etc.)

    Le Rabbin Stephen Wise nous confirme dans son autobiographie que cette déclaration de Lilienthal est un fait historique. Jusqu’à aujourd’hui les Arabes ont été bafoués et trompés autant qu’il se peut. (Challenging Years, page 186).

    Vu sous cet angle, les juifs modernes, les Khazars, sont les plus grands antisémites, car ils torturent les peuples arabes, qui sont les véritables Sémites, en menant des guerres, à travers les banques juives internationales et -les magnats du pétrole. Comprenez-vous tout, clairement ? Comprenez-vous que tout ce que vous entendez dans les médias ou que vous regardez, est le contraire de la vérité ?

    Aussi la politique sioniste est-elle le fruit du travail des Khazars et non des Hébreux. Celui qui combat les sionistes n’est pas antisémite. Il est au plus antisioniste.
    Même le terme Sion a été faussé par les Khazars. Les juifs s’attribuent la montagne Sion comme la montagne où habite le peuple dominateur, ce qui est grotesque. Dans la Nouvelle Bible de Jérusalem, Psaume 48, il est dit : Il est grand le Seigneur, il est comblé de louanges, dans la ville de notre Dieu, sa montagne sainte. Belle et altière, elle réjouit toute la terre. L’Extrême- Nord, c’est la montagne de Sion, la cité du grand roi. Le mot Sion est mal traduit. En hébreu on lit Sion, et on décrit la montagne Sin (sumérien), qui parle de la montagne du Nord – d’après les Templiers (Societas Templi Marcioni), la montagne de minuit, l’Allemagne actuelle. Et le Psaume 48 le dit bien : La montagne de Sion se trouve loin dans le Nord!

    La plupart des gens en Europe répondraient à la question sur la signification du judaïsme, sans sourciller, que le judaïsme est la religion des juifs, donc leur système de valeurs, leur foi. Ils diraient que c’est la religion de l’Ancien Testament et qu’ils s’appuient sur les enseignements de Moïse. La plupart répondraient dans ce sens, ce qui sonne bien. Malheureusement ce n’est pas la vérité ! Des banques ?


    Donnez moi le contrôle de la monnaie d’une nation, et je me moque de qui fait les lois! Amschel Mayer Rothschild (1743-1812)

    Les Khazars les plus puissants et les plus célèbres sont les Rothschild, des Talmudistes zélés. Voici un petit aperçu de leur histoire :

    Moïse Amschel Bauer, un joaillier et cambiste nomade, d’origine khazare, s’établit dans la ville où son fils Mayer Amschel Bauer vit le jour en 1743, à Francfort, en Allemagne. Il accroche une enseigne rouge au-dessus de son magasin, de la rue des juifs, le signe des Khazars. C’est Mayer Amschel qui changea son nom plus tard et prit le nom d’enseigne rouge. Après la mort de Moïse Bauer, Amschel Bauer commence un apprentissage dans la banque Oppenheimer à Hanovre et devient rapidement un junior partner. La pierre angulaire de la richesse de Rothschild est le fait qu’il connaît le général Von Estorff qui, à cette époque, s’occupait de la messagerie de la banque. (De nos jours les liens sont encore très étroits entre la maison Rothschild et la banque Oppenheimer). C’est par lui qu’il devient conseiller proche du prince Guillaume de Hanau. En 1770 il épouse Gutele Schnaper, qui a 17 ans, et fonde une famille de 5 garçons et 5 filles.

    Rothschild, agent du marchand de chair humaine Guillaume de Hanau, qui loue ses troupes à tous les gouvernements, élabore les plans pour fonder les Illuminati de Bavière, (d’après les dires de l’officier de renseignements de la marine royale canadienne, William Guy Carr) et désigne Adam Weishaupt pour s’occuper de leur développement. À l’aide d’une somme de 3 millions $, qu’il soutire au prince Guillaume, il décide de développer ses affaires sur une plus grande échelle Il devient le premier banquier international ! Mayer Amschel lègue cet argent à son fils Nathan, qui gère les affaires de la famille à Londres et qui s’enrichit en prêtant de l’argent au duc de Wellington, quadruplant sa richesse. Fort de cette richesse, les Rothschild ouvrent des succursales à Berlin, Vienne, Paris et Naples, où ils mettent leurs fils aux commandes. Londres a été et reste toujours le siège principal des Rothschild.

    baphometDans le testament de Mayer Amschel il est précisé que toutes les positions clé doivent être occupées par des membres de la famille, et que ceux-ci, pour conserver le patrimoine et la richesse, doivent se marier entre cousins et cousines du premier et deuxième degré. La règle a été assouplie plus tard, quand d’autres banques juives sont apparues, et que les Rothschild ont marié leurs enfants à ces familles d’élite, pour agrandir la fortune. On sait que les Rothschild étaient des Talmudistes fanatiques, que le contenu du Talmud faisait partie des lectures quotidiennes. Des magiciens de la finance et des fins calculateurs, poussés par un instinct diabolique jusqu’au succès de leurs agissements secrets, c’est ainsi que le biographe Frederic Morton décrit Mayer Amschel et ses cinq fils. Ils n’avaient aucune pitié envers les Goyim (les étrangers) dans tout ce qui touchait leurs affaires. Après leur succès à Waterloo, ils se mirent à la conquête des ÉtatsUnis. Ils perdirent le premier round, quand le président Jackson décida de fermer la Bank of the United States, qu’ils avaient fondée, en mettant son veto. Mais ils ne lâchèrent pas prise. Ils excitèrent la haine des deux côtés pendant la guerre civile américaine de 1861-1865, financèrent les deux côtés àtravers leur banques de Paris et de Londres.

    En 1914 leurs deux agents principaux, Kuhn Loeb & Co et J. P. Morgan & Co, étaient bien établis aux USA. Jacob Schiff prit le commandement et appuya, à l’aide de ses relations avec les représentants allemands des Rothschild, la banque M. M Wartburg de Hambourg et d’Amsterdam, l’édification de l’empire de Rockefeller, la Standard 011, les chemins de fer d’Edward Harriman, et les aciéries de Carnegie.
    En 1907 ils provoquèrent en Amérique la plus importante crise monétaire de cette époque, à travers les banques Kuhn Loeb & Co, J. P. Morgan & Co, et M. M. Wartburg, dont la conséquence fut la création de la banque centrale privée des Rothschild, la Federal Reserve Bank, avec leur agent et collaborateur de Kuhn Loeb & Co, Paul Wartburg à sa tête. (Paul Wartburg était aussi le président de I. G. Farben).

    Jacob Schiff était pour les Rothschild le financier et le coordinateur de la révolution bolchevique et le financier personnel des Khazars (Trotzki et ses rebelles), afin de permettre (comme il y a 1000 ans) que les Khazars reviennent au pouvoir en Russie. Nous savons par les plans de Mazzini et de Pike que tout allait comme prévu, et qu’on avait monté de toutes pièces un scénario de guerre froide pour endormir l’opinion publique. On peut affirmer, sans exagérer, que la Russie, l’Armée rouge, appartient aux détenteurs de l’emblème des Khazars, à ceux qui portent son nom, les Rothschild.

    Ce n’est que la pointe de l’iceberg des Rothschild. On comprend mieux pourquoi les 85 millions de morts du régime communiste entre 1917 et 1953 ne les ont pas touchés, alors qu’ils ont financé cette révolution. Frédéric Morton nous dit : « Aujourd’hui la famille veut donner l’image d’une existence discrète et invisible. Ce qui fait que la plupart des gens croient qu’à part la légende, il ne reste pas grand chose. Les Rothschild sont satisfaits, et se laissent porter par cette légende ». (The Rothschild, page 19). Si les juifs sont d’origine Khazars et non Sémites, Israël n’as plus de légitimité à exister.

    Commençons par mettre de l’ordre dans les termes que nous utilisons tous les jours. Qui sont les Sémites ?

    D’après le très conservateur et très explicite Oxford Universal Dictionary, le mot sémite a été employé pour la première fois en 1875, et décrit une personne qui appartient à la race englobant presque tous les peuples des descendants de Sem, le fils de Noah, d’après la Genèse, chapitre 10, de l’Ancien Testament, et dont la langue maternelle est une langue sémite – d’où les Akkadiens, les Phéniciens, les Hébreux, les Araméens, les Arabes, les Assyriens…

    Dans le dictionnaire de Langer de l’Histoire du monde, il est dit que le terme de sémite ne s’applique pas à une race, mais à un groupe de peuples, dont la langue maternelle est sémite.
    Le profane pourrait donc penser : Eh bien, les Hébreux sont donc des Sémites. C’est vrai. Les Hébreux sont des Sémites, mais on peut se demander quel est le lien entre les juifs et les Hébreux, les juifs d’aujourd’hui n’ont presque rien en commun avec les Hébreux. Regardons l’Histoire.

    hebreux

    Les Hébreux ne viennent pas, comme on le dit souvent, de Chaldée. Ils vinrent en Chaldée comme étrangers, et ont été traités de la sorte, et chassés. Le pays d’origine des Hébreux est décrit dans le premier livre de Moïse comme étant la région entre Messa et Saphar, la montagne de l’est d’Ebal, c’est-à-dire la région de la pointe, le point le plus au sud de la péninsule arabe.
    MoïseDans l’Ancien Testament, on peut lire, comme nous venons de le dire, que Sem était le fils de Noé, ce qui est une erreur. Cela vient du fait que Néhémie et Esdras ont pris les poèmes et les légendes du vieux Babilus, les ont recopiés et les ont adaptés selon leurs intérêts en les falsifiant. (Ils ont fait pareil avec l’histoire du roi Sargon, qu’ils ont pris comme modèle pour l’histoire de Moïse, dont la véritable histoire est complètement différente. De plus, Moïse a vécu plus de 1000 ans après Sargon.)
    Les Hébreux viennent donc en vérité de ce point géographique, dont parle le premier livre de Moïse 10-30, c’est à dire de l’endroit le plus étroit de la mer Rouge, tout au sud, au pied du mont Ebal. Une nouvelle tribu s’était formée à partir de peuples différents. Le chef de cette nouvelle tribu s’appelait Abil Habr, chassé de la tribu des Schabées. La tribu prit le nom de Habrites, qui devinrent plus tard les Hébreux. D’autres hommes chassés de leur tribu vinrent se joindre à cette nouvelle tribu, ainsi que des esclaves évadés. Peu à peu se forma un nouveau peuple. Ali Habr fit construire une forteresse, et partit à la conquête de l’île de Bara (Perim), qui appartenait au royaume d’Égypte. Là, il fit alliance avec les tribus éthiopiennes, les Amchars et les Kabyles. Ensemble ils conquirent le territoire des Maures jusqu’au lac Ugan Ugan (l’Ouganda actuel). Il fonda un royaume et c’est àcet endroit que ce peuple devint le peuple hébreu. Le centre de ce pays porte le nom de Habr, d’après Ali Habr.
    Comme Ali Habr avait institué la polygamie, un peuple complètement nouveau émergea, constitué de mélanges de plusieurs types humains. Dans la force de l’âge, Ali Habr contracta une maladie sexuelle. À cette époque vivait un sorcier dans la tribu des Genites au pays de Sina (Sinaï). Il était connu pour faire des miracles à travers des sacrifices humains qu’il destinait à un dieu sauvage. Ali le fit venir à lui. Le sorcier introduisit le rite de la circoncision et le dieu, Jaho/Yahvé/El Schaddaï, chez les Hébreux.

    Ali Habr développa ses conquêtes et prépara une guerre contre le pays de Habach, dont le roi était de la famille du pharaon. Le roi appela les Égyptiens à l’aide. Le pharaon Sesostris Ier envoya une flotte et une armée, les Hébreux furent battus. Les soldats du pharaon prirent aussi la forteresse de Har Habr, triomphant de leur ennemi.

    Tous les crimes des Hébreux se trouvent dans les livres de Moïse à Esther (celui-ci devrait s’appeler le livre de Mordekhaï (Mardochée), d’après le plus grand malfaiteur) de l’Écriture sainte, dont personne ne sait pourquoi elle s’appelle sainte alors qu’elle devrait s’appeler l’histoire criminelle falsifiée des Hébreux. On peut y dénombrer plus de soixante-dix massacres et génocides, sans compter les crimes, les pillages, les viols, l’inceste et autres atrocités. Le pire est qu’aucun de ces crimes n’est jamais puni. Au contraire, c’est Yahvé qui ordonne ces méfaits, et ils correspondent bien aux principes du Talmud. Le peuple juif s’identifie malgré tout, à part quelques exceptions, sans honte, à cette loi et à son histoire sanguinaire.

    Voilà, le peuple juif se compose de deux parties, les Sefardim et les Ashkenazim. Les Sefardim sont d’origine hébraïque et ont vécu depuis l’Antiquité en Espagne (en hébreu, Séfarade), d’où ils ont été chassés au 15ème siècle. Dans l’édition de 1960 de l’Encyclopedia Judaica on trouve ces faits : En 1960 il y a 500. 000 juifs d’origine hébraïque dans le monde. Les Ashkenazim ou juifs Khazars sont au nombre de 11 millions.

    Veuillez constater sur la vidéo suivante que ces animateurs TV reconnaissent cette réalité (la Vraie). Ce qui est le plus intéressant à entendre (vers la fin) c’est ceci : « Il a peut être raison, mais il n’aurait jamais du le dire »

    Téléchargements :

    Cliquez ici pour télécharger le livre du Professeur H. Graetz « Histoire des juifs »

    Cliquez ici pour télécharger les révélations d’un ex-sioniste sur l’origine d’Israël : Témoin Du Siecle 

    En conclusion :

    Au cours de ses nombreuses guerres avec ses voisins européens après le XIIIe siècle, la Russie a tout de même dû céder des territoires importants, qui faisaient originairement partie du royaume khazar. C’est ainsi que la Pologne, la Lituanie, la Galicie, la Hongrie, la Roumanie, et l’Autriche, acquirent de la Russie certains territoires qui faisaient originellement partie du royaume khazar. Et avec ces territoires, ces nations héritèrent aussi de nombreux « Juifs » (prétendus ou autoproclamés), descendants des Khazars, et qui étaient demeurés sur le sol de leur ancien royaume. Ces fréquents partages de frontières entre les différentes nations d’Europe orientale expliquent la présence actuelle de « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) dans tous ces pays. Leur langage commun, leur culture commune, leur religion commune, et leurs caractéristiques raciales communes, classent ces « Juifs » sans le moindre doute comme les descendants des Khazars, peuple qui commença à envahir l’Europe orientale au premier siècle avant Jésus-Christ, et qui se convertit au « talmudisme » au VIIe siècle de notre ère.

    talmudDepuis la disparition du royaume khazar, la langue khazare est connue sous le nom de « yiddish ». Depuis environ six siècles, les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) d’Europe orientale, se désignent dans tous les pays où on les retrouve après la dislocation de leur royaume, comme étant de nationalité « yiddish ». Ils désignent également leur langue commune comme étant « le yiddish », il existe aujourd’hui à New York un grand nombre de journaux « yiddish », des théâtres « yiddish », et beaucoup d’autres institutions culturelles pour les « Juifs » d’Europe orientale, qui sont publiquement désignées ou répertoriées sous le mot « yiddish ».

    Avant qu’elle ne commence à être connue sous le nom de « langue yiddish », la langue maternelle des Khazars, dont le vocabulaire était assez limité, s’est accrue de nombreux mots nouveaux, suivant que les circonstances le réclamaient. Ces mots furent piochés dans le vocabulaire des nations avoisinantes, avec lesquelles les Khazars avaient des relations politiques, sociales ou commerciales. Toutes les langues augmentent leur vocabulaire de cette façon. Les Khazars adaptèrent donc à leurs besoins des mots issus de l’allemand, du slavon, et du baltique.

    La langue « yiddish » n’est pas du tout un dialecte de l’allemand. Beaucoup de personnes sont portées à le croire uniquement parce que le yiddish a emprunté un très grand nombre de mots à l’allemand. « Le yiddish » est l’appellation moderne de l’ancienne langue maternelle des Khazars.

    De même, le yiddish ne doit pas être confondu avec l’hébreu, parce que ces langues se servent toutes deux du même alphabet. Il n’y a pas un seul mot en yiddish, qui existait aussi en hébreu. Ainsi que je l’ai déclaré auparavant, ces deux langues sont aussi hétérogènes que le sont par exemple le suédois et l’espagnol, qui utilisent pourtant le même alphabet latin.

    Le yiddish n’a jamais eu de connotation religieuse ou sacrée, même s’il utilise les lettres hébraïques comme alphabet. « Yiddish » ne devrait donc pas être confondu avec « Juif » et « judaïsme »… Or c’est pourtant toujours le cas.

    Source : https://enquetesetrevelations.wordpress.com/2012/12/02/aujourdhui-95-des-juifs-ne-sont-pas-des-descendants-dhebreux-ou-de-semites/

    http://stopmensonges.com/aujourdhui-95-des-juifs-ne-sont-pas-des-descendants-dhebreux-ou-de-semites/

     

     

     

     

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    Note d'eva: Excusez-moi pour la présentation, elle est indépendante de ma volonté ! 

     

     

     

     

    Le côté obscur de la France – Mobilisation contre le projet de réforme de l’élection présidentielle

    François Asselineau s’adresse à vous pour lancer un double appel :

    1)- un appel à la vigilance devant les projets de réforme constitutionnels à la sauvette,

    2)- un appel à la mobilisation de tous contre l’actuel projet de loi (dite « loi Urvoas ») qui vise à renforcer les difficultés d’accès à l’élection présidentielle de 2017 et à rompre l’égalité de traitement médiatique entre les candidats.

    00:01 – Le projet de loi du 23 décembre 2015.
    02:11– Le projet de « modernisation » de l’élection présidentielle.

     

    Pour trouver votre député et lui écrire :

    http://www.assemblee-nationale.fr/qui/xml/departements.asp?legislature=14

     

    Pour écrire à votre sénateur :

    http://www.senat.fr/senateurs/sencir.html

     

     


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    L’UE doit devenir un « Etat policier »

    L’UE doit devenir un « Etat policier »

    Le sujet d’aujourd’hui : l’UE doit devenir un Etat policier. Plusieurs Etats de l’UE changent en ce moment leur législation concernant la surveillance policière, le contrôle et l’espionnage : un « Etat policier » est en train d’être mis en place sans aucune gêne.

    Ainsi en Espagne la nouvelle loi de sécurité est entrée en vigueur à Pâques 2015 : la participation à une manifestation sauvage, de même que « twitter » à ce sujet et filmer ou photographier des policiers, est passible d’une amende allant jusqu’à 600 000 euros.

    Depuis un certain temps en France les « coupables de délit d’opinion » sont emprisonnés, par exemple ceux qui n’ont pas montré le respect moral nécessaire devant les attentats contre Charlie Hebdo : des chauffeurs de taxi, des humoristes et des jeunes. Depuis début mai, les services secrets français n’ont plus besoin d’autorisation judiciaire pour intervenir, un seul soupçon suffit. Cela s’ajoute à la surveillance totale.

    En Autriche, une nouvelle loi de protection de l’Etat est en projet : si au travers de mesures de surveillance déterminées, les services secrets autrichiens peuvent mieux estimer s’il y a seulement « un quelconque risque pour la sécurité intérieure », alors les mesures de contrôle sont légales.

    En Allemagne, le Bundestag a voté le 16 octobre 2015 la loi controversée sur la réintroduction du stockage des données.

    C’est en Grande-Bretagne que doit se produire la transformation la plus évidente en un « Etat policier » : dans peu de temps, toute publication sur Internet, sur les réseaux sociaux ou sous forme imprimée aura préalablement besoin d’une autorisation de la police. Quiconque exprimera « des opinions extrémistes » ou qui menacent la « capacité de fonctionner de la démocratie », pourra être censuré.

    Avec de telles mesures de loi, sont facilités l’établissement du futur gouvernement mondial et le contrôle des citoyens, bientôt complètement mis sous tutelle. Nous restons vigilants, bonsoir.

    source: http://www.kla.tv/index.php?a=showportal&keyword=franzoesisch&curlang=fr

     

    http://reseauinternational.net/lue-doit-devenir-un-etat-policier/

     

    A lire absolument :


    Plusieurs fonds d’investissement quitteront la City en cas de sortie du Royaume-Uni de l’UE

    1 million de signatures contre TAFTA à la poubelle

    L’Allemagne se prépare à se détacher de l’Union Européenne


    Quand l’Europe s’est-elle fourvoyée ?


    Union Européenne : si même la justice échappe aux états, que reste-t-il de leur souveraineté ?


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    La Russie, éternelle victime d’une guerre qui ne dit pas son nom

    La Russie, éternelle victime d’une guerre qui ne dit pas son nom

    Comment la Russie a-t-elle pu, en seulement 20 ans, sans guerres ni autres troubles, passer du stade de semi-colonie à celui de dirigeant mondial reconnu, à égalité avec les plus importants ?

    Les stratèges en chambre, qui croient sincèrement qu’une attaque nucléaire massive est la solution universelle à tout problème international (même le plus brûlant, proche de la confrontation militaire), sont malheureux de la position modérée du gouvernement russe dans la crise avec la Turquie. Ils jugent même insuffisante la participation de l’armée russe dans le conflit syrien. Ils sont aussi mécontents des activités de Moscou sur le front ukrainien.

    Pourtant, pour une raison quelconque, personne ne pose une question simple. Comment est-ce arrivé que, tout d’un coup, la Russie ait non seulement résisté à la puissance hégémonique mondiale, mais ait gagné brillamment contre elle sur tous les fronts ?  

    Pourquoi maintenant

    À la fin des années 1990, la Russie était un pays au niveau du Tiers Monde, économiquement et financièrement. Une rébellion contre les oligarques commençait à naître dans le pays. Celui-ci menait contre les Tchétchènes une guerre interminable et désespérée qui s’étendait au Daghestan. La sécurité nationale n’était soutenue que par les armes nucléaires ; quant à conduire une opération sérieuse même à l’intérieur de ses propres frontières, l’armée n’avait ni personnel entraîné ni équipement moderne, la flotte ne pouvait pas naviguer et l’aviation ne pouvait pas voler.

    Bien sûr, tout le monde peut voir comment l’industrie, y compris d’armement, a été progressivement ranimée, comment le niveau de vie en hausse a stabilisé la situation intérieure, comment l’armée a été modernisée.

    Mais la question essentielle n’est pas de savoir qui a fait le plus pour reconstruire l’armée russe : Shoigu, Serdukov ou l’état-major général. La question principale n’est pas de savoir qui est le meilleur économiste, de Glaziev ou Koudrine, et s’il aurait même été possible d’allouer davantage de ressources aux dépenses sociales.

    Le facteur clé dans ce travail est le temps. Comment la Russie l’a-t-elle eu, pourquoi les États-Unis ont-ils donné du temps à la Russie pour préparer la résistance, muscler son économie et son armée, anéantir le lobby pro-américain actif dans la politique et les médias financés par le Département d’État ?

    Pourquoi la confrontation ouverte avec Washington, vers laquelle nous avançons, n’a-t-elle pas commencé plus tôt, il y a 10 ou 15 ans, lorsque la Russie n’avait aucune chance de résister à des sanctions ? En réalité, au cours des années 1990 ou 2000, les États-Unis ont commencé à installer des régimes fantoches dans l’espace post-soviétique, y compris à Moscou, qui était considéré comme l’une des diverses capitales de la Russie démembrée.

    Le sain conservatisme des diplomates

    Les conditions des actuels succès militaires et diplomatiques ont été construites pendant des décennies sur le front invisible de la diplomatie.

    Il faut dire que parmi les ministères centraux, le ministère des Affaires étrangères a été le premier à se remettre du désordre administratif causé par l’éclatement du début des années 1990. Déjà en 1996, Evgueni Primakov est devenu un ministre des Affaires étrangères qui, en plus de faire faire demi-tour à son avion au-dessus de l’Atlantique en apprenant l’agression US contre la Yougoslavie, a transformé la politique étrangère russe – qui n’a depuis lors plus jamais suivi celle des Américains.

    Deux ans et demi plus tard, il a recommandé Igor Ivanov comme successeur, qui a lentement (presque imperceptiblement) mais sûrement continué à renforcer la diplomatie russe. Il a été remplacé en 2004 par l’actuel ministre des Affaires étrangères, Sergei Lavrov, sous la direction duquel la diplomatie a accumulé suffisamment de ressources pour passer d’une position défensive à une position offensive.

    Sur ces trois ministres, seul Ivanov a reçu l’Étoile d’or [le plus haut titre honorifique, décerné aux Héros de la Fédération de Russie, NdT], mais je suis sûr que tant son prédécesseur que son successeur sont tout aussi dignes de cette récompense.

    Il faut dire que la traditionnelle proximité de caste et le sain conservatisme du corps diplomatique ont contribué à une rapide restauration du travail du ministère des Affaires étrangères. Le sang-froid et le traditionalisme dont les diplomates sont accusés ont aidé. La kozyrevshchina (mot dérivé du nom de Andrei Kozyrev, ministre des Affaires étrangères de 1990 à 1996, signifiant «agir comme Kozyrev», c’est-à-dire d’une manière servile contre ses propres intérêts, NdT) n’a jamais pris au ministère, parce que ce n’était pas son genre.

    Une période de consolidation interne

    Mais revenons à 1996. La Russie est au fond du trou économiquement, mais le défaut de 1998 est encore à venir. Les États-Unis violent totalement le droit international et le remplacent par leurs actes arbitraires. L’Otan et l’UE se préparent à se rapprocher des frontières russes.

    La Russie n’a aucun moyen de répondre. La Russie (comme l’URSS avant elle) peut anéantir n’importe quel agresseur en 20 minutes, mais personne ne prévoit de l’attaquer. Toute déviation de la ligne approuvée par Washington, toute tentative de mener une politique étrangère indépendante conduirait à l’étranglement économique et à la déstabilisation interne qui s’ensuivrait – à cette époque, le pays vit sur les crédits occidentaux.

    La situation se complique encore par le fait que jusqu’en 1999, le pouvoir était entre les mains de l’élite compradore redevable aux Etats-Unis (comme l’actuelle en Ukraine), et jusqu’en 2004-2005, les compradors luttent toujours pour le pouvoir, en concurrence avec la bureaucratie patriotique de Poutine. La dernière bataille d’arrière-garde livrée par les compradors vaincus a été une tentative de révolution en 2011 à la place Bolotnaïa. Que se serait-il passé s’ils avaient réussi en 2000, lorsqu’ils jouissaient d’un avantage écrasant ?

    Les dirigeants russes avaient besoin de temps pour consolider la situation intérieure, restaurer les systèmes économique et financier, assurer leur autonomie et leur indépendance à l’égard de l’Ouest et reconstruire une armée moderne. Enfin, la Russie avait besoin d’alliés.

    Les diplomates avaient une mission presque impossible. Il était nécessaire, sans reculer sur des questions essentielles, de consolider l’influence de la Russie dans les États post-soviétiques, de s’allier avec d’autres gouvernements qui résistaient aux États-Unis, les renforcer, si possible, tout en donnant à Washington l’illusion que la Russie était faible et prête à des concessions stratégiques.

    L’illusion de la faiblesse russe

    La démonstration du succès de cette mission tient dans les mythes qui continuent à vivre chez certains analystes occidentaux et dans l’opposition russe pro-américaine. Par exemple, si la Russie s’oppose à un nouvel avatar de l’aventurisme occidental, elle «bluffe pour sauver la face», les élites russes sont totalement dépendantes de l’Occident parce que «leur argent est là-bas», et que «la Russie trahit ses alliés».

    Cependant, les mythes sur les «fusées rouillées qui ne volent pas», «les soldats affamés qui construisent des datchas pour les généraux» et sur «l’économie en lambeaux» ont pour l’essentiel disparu. Seuls des marginaux y croient, mais ils ont trop peur de reconnaître la réalité.

    Ce sont ces illusions elles-mêmes, sur la faiblesse et l’empressement à reculer, qui ont dupé l’Occident lui faisant croire que la question russe était résolue et l’a dissuadé de lancer des attaques politiques et économiques préventives sur Moscou, et ont donné aux dirigeants russes un temps précieux pour accomplir leurs réformes.

    Naturellement, il n’y a jamais assez de temps, et la Russie aurait préféré reporter de trois à cinq ans encore la confrontation directe avec les États-Unis qui a commencé en 2012-2013, ou même l’éviter complètement, mais la diplomatie a gagné 12 à 15 ans pour le pays – un immense laps de temps dans le monde actuel, qui change à toute vitesse.

    La diplomatie russe en Ukraine

    Pour faire bref, je donnerai un seul exemple très clair, le plus pertinent dans la situation politique actuelle.

    Les gens critiquent encore la Russie pour ne pas contrer assez activement les États-Unis en Ukraine, pour échouer à créer une cinquième colonne pro-russe afin de contrebalancer la cinquième colonne pro-américaine, pour travailler avec les élites plutôt qu’avec le peuple, etc. Évaluons la situation sur la base des possibilités réelles plutôt que des vœux pieux.

    Malgré toutes les références au peuple, c’est l’élite qui détermine la politique du pays. L’élite ukrainienne, dans toutes ses actions, a toujours été et est encore antirusse. La différence est que l’élite idéologiquement nationaliste (et qui devient progressivement nazie) était ouvertement russophobe, tandis que l’élite économique (compradore, oligarchique) était simplement pro-occidentale, mais ne s’opposait pas à des liens lucratifs avec la Russie.

    J’aimerais vous rappeler que ce sont les représentants du Parti des régions, soi-disant pro-russes, qui se sont vantés de ne pas avoir autorisé le commerce russe dans le Donbass. Ce sont eux aussi qui ont essayé de convaincre le monde qu’ils étaient plus favorables que les nationalistes à l’intégration européenne.

    Le régime Ianoukovitch–Azarov a précipité la confrontation économique avec la Russie en 2013, en demandant que malgré la signature de l’Accord d’association avec l’Union Européenne, la Russie maintienne et même renforce un régime favorable à l’Ukraine.

    Après tout, Ianoukovitch et ses collègues dans le Parti des régions, alors qu’ils avaient un pouvoir absolu (2010-2013), ont soutenu les nazis financièrement, politiquement et en matière d’information. Ils les ont fait passer d’une niche marginale à la vie politique générale dans le but d’avoir un opposant pratique lors des élections présidentielles de 2015, tout en supprimant toute activité d’information pro-russe (sans parler de l’activité politique).

    Le Parti communiste ukrainien, en même temps qu’il conservait une rhétorique pro-russe, n’a jamais tiré sur le pouvoir et a joué un rôle d’opposition loyale convenable soutenant indirectement les oligarques, canalisant l’activité protestataire dans des endroits sûrs pour tous les pouvoirs (y compris l’actuel).

    Dans ces conditions, toute tentative russe de travailler avec des ONG ou de créer des médias pro-russes aurait été perçue comme un empiétement sur les droits des oligarques ukrainiens de voler le pays à leur seul usage, ce qui provoquerait une nouvelle dérive de l’Ukraine officielle vers l’Ouest, vu par Kiev comme un contrepoids à la Russie. Les États-Unis auraient vu cela, tout à fait naturellement, comme une transition de la Russie vers une confrontation directe, et auraient redoublé d’efforts pour la déstabiliser et soutenir les élites pro-occidentales dans tout l’espace post-soviétique.

    Ni en 2000, ni en 2004, la Russie n’était prête à affronter ouvertement les États-Unis. Même lorsque cela s’est passé en 2013 (et ce n’était pas le choix de Moscou), la Russie a eu besoin de presque deux ans pour mobiliser ses ressources pour donner une réponse forte en Syrie. L’élite syrienne, contrairement à l’élite ukrainienne, a rejeté dès le début (en 2011-2012) tout compromis avec l’Occident.

    C’est pourquoi, pendant 12 ans (depuis l’action «l’Ukraine sans Koutchma», qui a été la première tentative infructueuse de coup d’État pro-américain en Ukraine), la diplomatie russe a travaillé à deux tâches essentielles.

    Premièrement, garder la situation en Ukraine en équilibre instable ; deuxièmement, convaincre l’élite ukrainienne que l’Occident était un danger pour son bien-être, tandis que la réorientation vers la Russie était l’unique moyen de stabiliser la situation et de sauver le pays ainsi que la position de l’élite elle-même.

    La première mission a été réalisée avec succès. Les États-Unis ont réussi à faire passer l’Ukraine du mode multidirectionnel au mode bélier antirusse en 2013 seulement, après avoir dépensé beaucoup de temps et de ressources et avoir installé un régime avec d’énormes contradictions internes, incapable d’exister de manière indépendante (sans soutien américain croissant). Au lieu d’utiliser les ressources ukrainiennes à leur profit, les États-Unis sont obligés de dépenser les leurs pour prolonger l’agonie de l’État ukrainien détruit par le coup d’état.

    La seconde mission, la réorientation économique vers la Russie, n’a pas eu lieu pour des raisons objectives (indépendantes des efforts russes). L’élite ukrainienne s’est révélée totalement inadéquate, incapable de penser stratégiquement, d’évaluer les risques et les avantages réels, vivant et agissant plutôt sous l’influence de deux mythes.

    D’abord, que l’Occident l’emporterait facilement dans toute confrontation avec la Russie et partagerait le butin avec l’Ukraine. Ensuite, qu’aucun effort, sinon une position antirusse inébranlable, n’est nécessaire pour obtenir une existence confortable (au détriment des finances de l’Occident). Dans la situation de devoir choisir entre s’orienter vers la Russie et survivre, ou être aux côtés de l’Occident et mourir, l’élite ukrainienne a choisi la mort.

    Cependant, même avec ce choix négatif de l’élite ukrainienne, la diplomatie russe a réussi à obtenir un avantage maximum. La Russie ne s’est pas laissé aspirer dans une confrontation avec le régime ukrainien, mais a forcé Kiev et l’Occident dans un processus de négociation épuisant, sur fond de guerre civile de faible intensité, en excluant les États-Unis du format Minsk. En mettant l’accent sur les contradictions entre Washington et l’Union Européenne, la Russie a réussi à faire porter la charge financière de l’Ukraine sur l’Ouest.

    Résultat, la position, solide au début, de Washington et de Bruxelles s’est désintégrée. Comptant sur un blitzkrieg politico-diplomatique, les politiciens européens n’étaient pas préparés à une confrontation prolongée. L’économie de l’UE ne pouvait simplement pas la supporter. À leur tour, les États-Unis n’étaient pas prêts à accepter que Kiev soit exclusivement à leur charge.

    Aujourd’hui, après un an et demi d’efforts, la vieille Europe qui détermine la position de l’UE, l’Allemagne et la France, a complètement abandonné l’Ukraine et cherche un moyen de tendre la main à la Russie par dessus la tête des pays limitrophes pro-américains d’Europe de l’Est (la Pologne et les États baltes). Même Varsovie, qui avait l’habitude d’être le principal avocat de Kiev dans l’Union Européenne (quoique de manière semi-officielle), évoque la possibilité de diviser l’Ukraine, ayant perdu la foi dans la capacité des autorités de Kiev à maintenir l’unité du pays.

    Dans la communauté ukrainienne des politiques et des experts, l’hystérie à propos de la trahison de l’Europe est en train de grandir. L’ancien gouverneur (nommé par le régime nazi) de la région de Donetsk et oligarque Sergei Taruta dit que son pays a encore huit mois à vivre. L’oligarque Dmitry Firtash (qui avait une réputation de faiseur de roi ukrainien) prédit la désintégration pour le printemps prochain.

    Tout cela, tranquillement et imperceptiblement, sans tanks ni aviation stratégique, a été atteint par la diplomatie russe. Réalisé dans une confrontation difficile avec le bloc des pays les plus puissants, militairement et économiquement, tout en partant d’une position beaucoup plus faible et avec les alliés les plus étranges, dont tous n’étaient pas, ou ne sont pas, heureux de la montée de la puissance russe.

    Percée au Moyen-Orient

    Parallèlement, la Russie a réussi à retourner au Moyen-Orient, à conserver et à développer l’intégration au sein de l’espace post-soviétique (l’Union Economique Eurasienne), à déployer avec la Chine un projet d’intégration eurasienne (l’Organisation de coopération de Shanghai) et à lancer avec les BRICS un projet d’intégration mondial.

    Malheureusement, l’espace limité de cet article ne me permet pas de discuter en détail toutes les actions stratégiques de la diplomatie russe ces 20 dernières années (de Primakov à aujourd’hui). Une étude exhaustive nécessiterait plusieurs volumes.

    Cependant, toute personne qui essaierait de répondre honnêtement à la question de savoir comment la Russie a réussi en 20 ans, sans guerres ni chamboulements, à passer de l’état de semi-colonie à celui de dirigeant mondial reconnu, devrait reconnaître les contributions de beaucoup de gens sur la place Smolenskaïa [où se trouve le ministère des Affaires étrangères, NdT]. Leurs efforts ne tolèrent pas l’agitation ou la publicité, mais sans effusion de sang ni victimes, ils produisent des résultats comparables à ceux obtenus par des armées de plusieurs millions d’hommes pendant de nombreuses années.

    Rostislav Ichtchenko est analyste à Russia today.

    Article original publié sur oko-planet.su

    Traduit par Diane, édité par jj, relu par Diane pour le Saker Francophone

    Photo: place Smolenskaïa (Ministère des Affaires Etrangères)

    source: http://lesakerfrancophone.net/la-russie-eternelle-victime-dune-guerre-qui-ne-dit-pas-son-nom/

     

    http://reseauinternational.net/la-russie-eternelle-victime-dune-guerre-qui-ne-dit-pas-son-nom/


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